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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 02:26

 

Le second rapport annuel de l’outil de micro-financement européen PROGRESS est sorti cette semaine, l’occasion pour le commissaire à l’emploi et aux affaire sociales Lazslo Andor d’en saluer le bon bilan.

PROGRESS a beau être un instrument très jeune (il a été créé en 2010), il n’en demeure pas moins une vraie réussite en termes de création d’emplois, notamment pour aider les créateurs de micro entreprises à lever des fonds qu’ils ne réussissent pas à obtenir par les circuits bancaires traditionnels, d’autant plus en période de crise économique où les investisseurs rechignent à prendre des risques, même pour des petites sommes.

En abondant à hauteur de 203 millions d’euros pour la période 2010-2013, la Commission européenne et la Banque européenne d’investissement permettent d’accorder des micro-crédits d’un montant pouvant aller jusqu’à 25 000 euros dans les 20 pays de l’Union partenaires. L’objectif est d’atteindre un montant de 500 millions d’euros prêtés pour 46000 bénéficiaires d’ici 2019.

Les projets financés sont principalement des projets d’ouvertures de commerces et d’exploitations agricoles, mais aussi de nombreux projets dans le domaine tertiaire. On note que cet outil est un levier intéressant en terme de lutte contre le chômage, de retour à l’emploi (notamment pour les femmes qui sont sortis du marché de l’emploi pour élever leurs enfants) et de reconversion professionnelle.

On connaissait surtout le micro-crédit comme outil de développement dans les pays pauvres, il faut bien avoir conscience que ce dispositif est tout aussi opérant dans les zones plus développées de la planète !

Plus d’infos ici

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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 02:17

 

Publié le 19 juillet 2012 par Égalité

Nous avons rencontré Geneviève Couraud, présidente de l’Observatoire du droit des femmes et de l’égalité des chances du conseil général des Bouches-du-Rhône.

Au titre du Planning familial – elle est membre du bureau confédéral –, elle siège depuis juin 2010 à l’Observatoire de la parité entre les femmes et les hommes.

Par ailleurs, Geneviève Couraud est depuis peu secrétaire générale de l’Assemblée des femmes, créée par Yvette Roudy, ainsi que de l’association Negar, créée par Shoukria Haïdar pour soutenir les femmes afghanes.

Elle est aussi vice-présidente de l’association Elu-es contre les violences faites aux femmes, présidée par Francine Bavay. Elle est conseillère d’arrondissement dans le 8e secteur de Marseille.

Nous avons voulu entendre une militante féministe de longue date et une femme politique sur la création d’un ministère des Droits des femmes avec à sa tête Najat Vallaud-Belkacem. « Je trouve très bien que l’on ait nommé quelqu’un de jeune, de volontaire et de dynamique sur le poste, et qui n’a pas peur de communiquer. Tous mes vœux l’accompagnent. »

Mais Geneviève Couraud ajoute : «J’espère que la double fonction avec le porte-parolat, qui a des aspects positifs car cela la met dans la lumière, ne l’empêchera pas d’avoir une parole de ministre des Droits des femmes qui forcément, à un moment ou à un autre, sera amenée à ne pas faire plaisir. » Et d’espérer que son cabinet sera assez pugnace sur la question des moyens financiers.

Mais il y a déjà des signes très positifs souligne-t-elle, notamment le fait que les réseaux associatifs aient été reçus.

Le « dossier parité » dès 2004

Les combats justement. Celui de la parité, par exemple, qui est le sujet politique qui mobilise le plus Geneviève Couraud. Alors déléguée aux Droits des femmes au parti socialiste depuis 1998, elle demande à François Hollande, dès septembre 2004, de prendre en charge le « dossier parité ».

« Il existait au PS un non-respect flagrant de l’aspiration légitime des femmes d’être élues. Il planait l’idée qu’il n’y avait pas assez de candidates possibles, que les femmes n’étaient pas compétentes et qu’elles faisaient perdre ! »  

En se penchant sur le mode de désignation interne au parti, Geneviève Couraud en comprend le fonctionnement : « C’est un jeu entre les fédérations et le national où, d’un côté comme de l’autre, il n’y a que des hommes. »

Elle doit alors se livrer à un véritable travail de fourmi, des jours et des nuits passés à examiner les 577 circonscriptions à la loupe, en allant à la pêche aux informations, aidée d’ailleurs par certains (peu nombreux !) en interne, car au parti, personne ne semble vouloir partager « le dossier ».

Au Congrès du Mans en 2005, François Hollande déclare qu’aux législatives de 2007 le PS présentera 50% de candidates et que 35% de circonscriptions gagnables seront réservées à des femmes. Les circonscriptions les plus favorables, au nombre de 20, sont celles dans lesquelles le sortant ne se représente pas.

Du cumul des mandats…

Et l’avenir ? « Le parti socialiste n’est pas exemplaire, et tant qu’il ne se bougera pas et ne prendra pas les décisions qui s’imposent… » Avec 0,2% de candidates de moins qu’aux législatives de 2007, la retenue pour non-respect de la parité (50%, à plus ou moins 2%), calculée sur la 1ère fraction de la dotation publique serait pour la 14e législature de 902 000 euros par an.

Geneviève Couraud retient deux messages de la campagne du candidat François Hollande :  

« Le fil rouge des jeunes, c’est très, très important… Parce que ce que nous sommes en train de faire tous ensemble, c’est construire une autre société, une société qui tourne le dos aux stéréotypes sexistes et à ce qu’on appelle, d’une manière un peu grandiloquente, la domination masculine. Une république de l’égalité entre femmes et hommes, mais aussi entre tous les citoyens, et moi qui suis élue d’un secteur vraiment défavorisé, cela me tient tellement à cœur. J’étais d’ailleurs ravie que le portefeuille ministériel de notre ministre marseillaise Marie-Arlette Carlotti soit élargi à l’exclusion. »

Alors que s’est tenue les 9 et 10 juillet il y a peu la première conférence sociale réunie par le nouveau Président et son Premier ministre, Geneviève Couraud rappelle que l’égalité professionnelle et l’égalité salariale sont toutes deux des composantes essentielles.

Elle se plaît à citer François Clerc, syndicaliste CGT qui siège à ses côtés à l’Observatoire de la parité et dont les travaux ont permis à près de 4 000 salarié-e-s discriminé-e-s par leur entreprise « parce qu’ils-elles étaient responsables syndicaux, d’être rétablis dans leurs droits. La méthode Clerc est appliquée aux femmes et depuis quelques temps pour des critères d’origine ethnique, et ça marche ! ».

« Sauf que “à travail égal, salaire égal”, cela peut concerner deux personnes très différentes qui font le même travail, un homme de 30 ans avec 5 ans d’expérience professionnelle dans l’entreprise et une femme de 55 ans qui elle en a 25 ; et donc c’est là que ça ne va pas du tout ! »

« La parité passe aussi par la lutte contre le cumul des mandats », nous dit Geneviève Couraud. « Il existe une espèce de nébuleuse constituée de tous ces élus qui cumulent les mandats politiques, qui dissuade les femmes notamment d’accéder aux fonctions politiques. La France est la championne toutes catégories du cumul des mandats : en Europe, en moyenne, entre 10 et 16% des élus cumulent des mandats, alors qu’en France les cumulards représentent 82% d’entre eux… »

Pour Geneviève Couraud c’est évident : « Quand on cumule des mandats on ne peut pas tout bien faire, donc on délègue à des personnes, souvent très professionnelles mais qui ne sont pas élues. On se trouve alors dans une situation où le suffrage des citoyens n’est pas respecté. Cela me gêne énormément et personne ne m’empêchera de le dire. Oui, les citoyens sont floués par le cumul des mandats ! »  

Le harcèlement sexuel comme prise de conscience féministe

A la question « Comment êtes-vous devenue féministe ? », elle raconte comment, à l’issue des épreuves du Capes pratique de lettres, elle a été confrontée à une situation qui a fait basculer la perception de sa place dans la société. Jeune mère à l’époque, elle est reçue à sa demande en entretien individuel par l’inspecteur général des lettres, doyen de l’inspection générale.

Il lui précise d’emblée « que de l’issue de l’entretien dépendra sa mention, son poste et sa nomination », et poursuit en lui décrivant par le détail les tenues vestimentaires qu’elle avait portées pendant les trois jours de l’épreuve et l’effet qu’elles avaient produit sur lui… « Et tout d’un coup je comprends que je suis dans une situation que de ma vie je n’avais jamais imaginé vivre… Je comprends que je suis en danger. »

Voyant que cette jeune femme qui se tenait devant avait choisi de ne rien répondre, il lui déclare au bout d’un temps assez long qu’elle avait donc perdu sa mention avec les conséquences directes que cela allait avoir, notamment, sur le lieu de sa nomination.  

« Et là s’arrête le débat que j’avais imaginé être une discussion intellectuelle sur les prestations que j’avais pu faire pendant ces trois cours. On n’imagine pas le gouffre qui s’ouvre sous ses pas lorsqu’on arrive à cela. Les représentants syndicaux à qui j’ai essayé d’en parler m’ont très mal reçue. Je suis restée près de trente ans sans le raconter. Chaque fois que j’essayais d’en parler, personne ne semblait me croire. C’est pour cela que chaque fois qu’une femme parle d’événements similaires, de harcèlement sexuel, je sais ce qu’elle a vécu. Quand je suis entrée dans ce bureau, je n’étais pas féministe. Lorsque j’en suis sortie, je l’étais ! »

Elle rejoint par la suite, en 1973, à La Rose à Marseille, le MLAC où elle avait accompagné une amie voulant avorter. Elle est bouleversée par la parole de femmes âgées, venues accompagner leurs filles et racontant leurs expériences horribles d’avortements pratiqués seules et disant tout simplement « jamais plus pour nos filles ». Ensuite, tout vient de la prise de conscience du MLAC : l’entrée au parti socialiste, en 1978, avec ce désir de peser sur les événements « pour changer la vie » et la société. Puis, plus tard l’engagement au Planning familial, suite logique de cet engagement pour la liberté d’une femme à disposer de son corps.

« Le corps des femmes est politique, bien plus que celui des hommes. Tantôt l’outil d’une politique de relance de la natalité, tantôt l’outil de sa réduction. De tout temps et partout, il a été instrumentalisé. C’est pour cela qu’il ne faut rien lâcher ! C’est ce qui est terrible, il ne faut rien lâcher ! »

 

Ajout personnel : il faudrait en matière de cumul des mandats écrire cumulard-e-s et non cumulards mêeme si les femmes cumulent moins certaines n'hésitent pas à le faire!

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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 02:10

28 femmes et 53 hommes à la direction du PS

 

Publié le 19 juillet 2012 par Égalité

Sur le site du parti socialiste, liste des membres du nouveau secrétariat national : au total, 81 personnes, 28 femmes et 53 hommes.

Avant le trombinoscope, on peut lire ces mots d’auto-congratulation :  

« Le secrétariat national du PS constitue une équipe rajeunie, aux couleurs de la France. Plus de la moitié de ses membres sont des nouveaux visages. Paritaire, la direction du PS est à l’image de la diversité de la France d’aujourd’hui et des jeunes générations:  40% de ses membres ont moins de 40 ans. »

La parité selon le PS…

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14 juillet 2012 6 14 /07 /juillet /2012 02:42

 

 



 

Lors de la visite à Fantanele – photo Groupe S&D

 

Mardi 26 juin, lors de la réunion annuelle du groupe S&D à Bucarest, je me suis rendue au village rrom de Fantanele, à 35km de la capitale roumaine.

Avant cela, Monsieur Valeriu Nicolae, diplomate et fondateur du centre de réinsertion des Rroms du ghetto de Bucarest, a partagé son expérience locale. Son centre a relevé le défi de venir en aide à 200 enfants Rroms, vivant dans des conditions sanitaires inhumaines, dont certains étaient dépendants à la drogue. Des activités artistiques et sportives sont proposées aux enfants, en contrepartie de quoi, ils doivent assister à deux heures d’étude par jour. Monsieur Valeriu Nicoale a pointé le manque d’interlocuteurs européens spécialisés sur la question des Rroms et la grande difficulté d’accès aux fonds européens, son centre fonctionnant grâce à sa fortune personnelle et aux dons privés. Un témoignage incisif et des critiques fondées mais qu’il faut replacer dans leur contexte car il ne s’agit pas de blâmer unilatéralement l’Europe.

La réelle difficulté pour répondre à la question rrom vient, il me semble, de l’inexistence d’une approche globale et intégrée entre niveaux national, local et européen ; une approche combinant efficacement politiques d’aides au retour, d’intégration et de coopération, et non uniquement focalisée sur l’un de ces volets.

Et ma rencontre avec des acteurs locaux en mission pour la France, a confirmé ce sentiment. Ces derniers sont confrontés aux difficultés sociales et administratives de la Roumanie, qui ont tendance à être sous-estimées à l’échelle européenne. Les charges en matière sociale pèsent largement sur les collectivités qui ne sont pas en mesure de cofinancer les subventions européennes et manquent parfois d’expertise pour y accéder.

Que peut faire l’Union européenne face à cette situation ? La première étape serait de fournir une assistance technique en Roumanie pour l’accès et l’utilisation des fonds européens -la révision en cours de la législation devrait aller vers ce type de simplification des procédures-. Ensuite, la Commission pourrait impulser une vraie coordination des Etats afin qu’ils adoptent des stratégies de long terme en faveur de la réinsertion des Rroms et qu’il y ait un échange de bonnes pratiques. Il faudrait également mieux faire connaître les réalités de terrain, souvent mal comprises. Ainsi, à terme, il sera nécessaire de réfléchir à l’amélioration des politiques de réinstallation.

Pour l’instant, les Etats adoptent trop souvent une démarche opportuniste, en voyant dans le financement occasionnel des politiques de coopération, des solutions d’urgence. C’est le cas de la Norvège et de la Suisse, récemment confrontées au «problème rrom», ou de la Grande Bretagne qui souhaite «faire le ménage» avant les Jeux Olympiques. Certaines collectivités ne s’embêtent pas d’une réponse politique, même occasionnelle, comme en Slovaquie où vient d’être construit un énième mur de la honte autour du camp rrom de la ville de Sered. Comme souvent, l’argument budgétaire justifie des fins de non-recevoir mais il correspond à des réalités contrastées. Ainsi dans le cas français : selon le rapport d’activité 2011 de l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration), 376 porteurs de projets de réinsertion économique ont été aidés par l’agence cette année-là. C’est donc au total 2,5 Millions d’euros qui ont été affectés à la réinsertion en 2011, quand dans le même temps 20,8 Millions ont été dépensés pour le renvoi collectif par charters. Il n’y a pas de chiffres spécifiques quant au public rrom, mais on sait que seulement 10 projets de réinstallation ont été validés en Roumanie.

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14 juillet 2012 6 14 /07 /juillet /2012 00:31

 


Tous les articles du dossier 

Où fait-il bon être une femme ?

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Publié le 12 juillet 2012 par Égalité

Article publié sur le site Terraeco.net le 9 juillet 2012.

© Adam Jones Ph.D - Flickr

© Adam Jones Ph.D – Flickr.

Où fait-il bon être une femme ? La question est complexe. L’ONG Save the Children l’a abordée de front et a publié un rapport sur le sujet.

Pour y répondre, les chercheurs ont examiné l’espérance de vie, le temps passé sur les bancs de l’école, les revenus ou encore le pouvoir politique des femmes dans 165 pays. Des notions qui, agrégées, ont formé un index des pays où il fait bon vivre – ou pas du tout – si l’on est une femme.

Mais pour éviter les injustes procès contre les pays pauvres, trois catégories ont été créées : pays développés, en développement ou moins avancés. A chaque catégorie, son classement. Nous avons choisi de nous intéresser au premier et au troisième groupe.

 

Le top 10 dans les pays développés :

 

1 Norvège
2 Islande
3 Suède
4 Nouvelle-Zélande
5 Danemark
6 Finlande
7 Australie
8 Belgique
9 Finlande
10 Pays Bas

 

 

Et la France dans tout ça ? Elle apparaît à la 14e position, tirée vers le haut grâce à son espérance de vie à la naissance mais plombée par la durée de son congé maternité (16 semaines contre 36 à 46 semaines en Norvège) ou le ratio entre paies masculine et féminine (0,61 contre 0,77 en Norvège), ou encore par le nombre de sièges occupés par des femmes au gouvernement (20 contre 40 en Norvège mais les chiffres datent de 2011 donc du gouvernement précédent). 

Le top 10 dans les pays les moins avancés :

 

1 Rwanda
2 Bhoutan
3 Malawi
4 Lesotho
5 Ouganda
6 Cambodge
7 Birmanie
8 Burundi
9 Iles Salomon
10 Mozambique

 

 

Risque de mortalité maternelle (2008), soit la probabilité qu’une femme puisse mourir au cours de sa vie d’une cause liée à sa ou ses maternités, selon le rapport.

Iles Salomon 1/230
Birmanie 1/180
Bhoutan 1/170
Cambodge 1/110
Lesotho 1/62
Mozambique 1/37
Malawi 1/36
Rwanda 1/35
Ouganda 1/35
Burundi 1/25

 

Où ne vaut-il mieux pas être une femme ?

Dans les pays développés, ce sont l’Ukraine, le Royaume-Uni et les Etats-Unis qui remportent le bonnet d’âne. En cause, un assez fort risque de mortalité maternelle (1 femme sur 2 100 aux Etats-Unis par exemple risque de décéder au cours de sa vie de causes liées à ses maternités).

En Ukraine, ce sont la mauvaise contraception (seulement 48% des femmes l’utilisent), la faible représentativité des femmes aux postes de pouvoir (8%) et le mauvais ratio entre salaire féminin et masculin (0,59) qui font plonger la note du pays.

Dans les pays en développement, la palme des cancres revient au Venezuela, au Vietnam et au Zimbabwe. Et dans les pays les moins avancés, à l’Ouganda, au Yémen et à la Zambie. Dans ce dernier pays, une mère sur 38 risque sa vie. L’espérance de vie féminine n’est que de 50 ans et le pourcentage de femmes utilisant des moyens modernes de contraception plafonne à 27%.

 TERRAECO

 
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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 07:41
NIAMEY (Xinhua) - "Au Niger, une femme meurt toutes les deux heures, du fait de sa grossesse ou pendant l'accouchement, et chaque jour, six nouveaux nés perdent la vie", a indiqué mardi la ministre nigérienne en charge de la Population, Dr Kadidjatou Maikibi Dandobi, dans un message à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la Population, célébrée le 11 juillet.
Mercredi 11 juillet 2012 | 09:36 UTC

Moins de 17 femmes sur 100 se font assister à l'accouchement par un personnel qualifié. Moins d'une femme sur deux, consulte pendant la grossesse, et moins d'une femme sur quatre, se fait consulter après l'accouchement", a-t-elle indiqué en citant l'enquête démographique et de santé réalisée en 2006.

Selon Dr Dandobi, cette situation résulte principalement des problèmes liés à l'accès à l'information, et à l'utilisation des services de santé de la reproduction.

"La célébration de cette journée doit être, une fois de plus, pour chacun d'entre nous, l'occasion de poursuivre les efforts en faveur de l'accès aux services de santé de la reproduction au Niger pour que chaque grossesse soit suivie, chaque accouchement se passe sans danger et le potentiel de chaque enfant soit accompli", a-t-elle conseillé.

La commémoration de cette journée instituée depuis 1987 vise deux objectifs, à savoir informer et sensibiliser l'opinion publique nationale et internationale, sur les multiples problèmes de populations, et susciter une mobilisation sociale effective et l'adhésion des populations autour du thème central.

 


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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 07:36
Information du 11 juillet 2012
Evaluation de la politique des TER en Rhône-Alpes

Madame, Monsieur,


Dans le cadre de l’évaluation de la politique des TER en Rhône-Alpes, une enquête en ligne est lancée afin de connaître le point de vue des rhônalpins utilisateurs ou non des TER.
 
 
Les résultats de cette enquête viendront alimenter une étude globale sur l’usage du TER, son impact sur le développement durable et sur la qualité de vie, les progrès réalisés dans ces domaines et les améliorations à apporter.
 

Pour répondre à ce questionnaire, cliquez sur ce lien :

http://www.sphinxonline.net/eureval/enquete_region_ra-ter/questionnaire.htm
 

Merci de diffuser largement ce lien autour de vous et dans vos réseaux en Rhône-Alpes. 
 

Vous pouvez également retrouver ce questionnaire sur le site Internet de la Région Rhône-Alpes.

 

La Direction des Transports

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 07:34

     Bonjour,

 

Cette année encore, le Festival International de Géographie fera honneur à cette science passionnante en proposant un événement riche et ouvert à tous.

 

La 23ème édition du FIG se prépare progressivement et de nombreuses informations peuvent déjà vous être révélées: le thème, le pays à l'honneur,  cette année la Turquie, les personnalités, les auteurs du Salon du Livre, …

 

Nous vous invitons à découvrir notre nouveau site internet officiel sur : www.fig.saint-die-des-vosges.fr.

Vous pouvez aussi rejoindre nos « fans », en cliquant « j'aime » sur notre page Facebook officielle : www.facebook.com/festival.international.geographie.

 

 

Bonne visite

Géographiquement vôtre


 
Toute l'équipe du FIG


 
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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 07:30

La caravane pour le Droit à la Terre et pour l’Agriculture Paysanne sera à Saint-Etienne le 14 juillet prochain



20 H : Film « La marche des gueux »

 

suivi d’une conférence débat avec Louis Campana, co-réalisateur du film et président de Gandhi 2012, association à l'origine de la caravane.

Maison de l’avenir 34 bis rue Ambroise Paré 42100 St Etienne (sous l’église de Solaure, au bout de l’hôpital Bellevue)

Entrée libre

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LA MARCHE DES GUEUX, la force libératrice de la non-violence (2008) 53mn de F. Verlet et L.Campana.

2 octobre 2007 : 25.000 paysans sans terre se rassemblent à Gwalior,en Inde, pour une marche d'un mois à travers le pays.

Leur but: le parlement de New-Delhi Leur objectif: obtenir des terres gouvernementales pour vivre dignement

Ce film raconte leur épopée.

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Il s’agit de soutenir la préparation de la marche « Jan Satyagraha » sur New Dehli en Octobre 2012

qui réunira 100.000 paysans sans terre pour réclamer l’application de la loi agraire

La caravane cherche à médiatiser cette action, sur les thèmes du refus de la misère, de l’accaparement des ressources (eau, terres, semences…), pour la souveraineté alimentaire des peuples



Vous trouverez  des informations sur d'autres actions de soutien à Jan Satyagrah, menées en France, notamment la marche Le Croizic-Paris qui se déroulera du 21 septembre au 17 octobre sont disponibles sur le site gandhi2012.org

Cette action est belle - Le 14 Juillet n’est pas une date facile - Merci à tous de faire abondamment passer l'information !

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11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 00:39
Les guides de référence
de l'actualité culturelle en France
 
Édités par le Ministère de la culture et de la communication
Direction de l'information et de la communication
 
 
“Festivals et expositions”
mai - octobre
La 29e édition du guide Festivals et Exposition est éditée par le Ministère de la culture et de la communication (Département de l'information et de la communication).

Destiné à un large public, le guide de référence propose les
programmes de quelque 10 000 manifestations culturelles de l'été 2012 dans la France entière (festivals, spectacles vivants, expositions, conférences, ateliers…).

Ces informations, regroupées par régions, départements et villes, sont aisément accessibles grâce aux
cinq index (géographiques et thématiques).

Conçu comme un annuaire, le guide est simple d'utilisation. Chaque organisme indique d'une manière exhaustive les programmes détaillés avec dates, horaires, descriptifs, adresses, numéros de téléphones et sites Internet.


Format du guide : A5 (148 x 210) - 632 pages

 

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