Président de la Région Rhône-Alpes, accompagné de Bernard SOULAGE, Premier Vice-président délégué aux transports, déplacements et infrastructures, et d’Éliane GIRAUD, Conseillère régionale déléguée à l’agriculture, au développement rural et aux Parcs Naturels Régionaux, a visité les aménagements du pôle d’échanges de Péage-de- Roussillon.
Ce projet est mené dans le cadre du Contrat de plan Etat-Région qui vise 3 objectifs majeurs :
renforcer l’intermodalité et l’accessibilité ; améliorer l’accueil et le confort des voyageurs ; et
prendre en compte les services et projets urbains.
Par ailleurs, la démolition des ateliers municipaux et l’acquisition du terrain –pour la construction d’un parking de 72 places-, ont été financées à 30% par la Région, dans le cadre du Contrat de développement durable « Rhône Pluriel ».
Située à mi-chemin entre Lyon et Valence, avec près de 750 usagers par jour,
la gare du Péage de- Roussillon constitue un élément important du dispositif ferroviaire régional
. Ce pôle d’échanges compte 26 allers-retours quotidiens en TER (trains et cars) et également 10 allersretours en cars TER à destination d’Annonay.
La fréquentation connaît une hausse annuelle de 10% en moyenne
la fréquentation des TER en Rhône-Alpes a augmenté de 40 % en 4 ans.
Afin de faciliter l’accès à la gare, 420 places de stationnements ont été aménagées, dont 220
créées.
La création d’un parvis piétonnier, d’un dépose-minute, de 3 places de taxi et de 49 places de stationnement, dont une partie en courte durée, est également prévue.
L’ensemble des travaux aujourd’hui réalisés est évalué à 1,68 M€, dont la moitié est financée
par la Région, soit plus de 840 000 €.
L’autre moitié est subventionnée par les autres partenaires : le Département de l’Isère (382 000 €), la Communauté de Communes du Pays Roussillonnais (382 000 €) et la SNCF (80 000 €).
Le projet prévoit également -pour un
montant de 140 000 €, financé à 75% par la Région et à 25% par la SNCF- la mise en
service prochaine d’un système d’information voyageurs en temps réel sur les quais et dans le bâtiment, ainsi que
l’installation d’une consigne collective à vélos de 48 places afin de favoriser les modes
de déplacements doux.