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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 13:37
Marian Lupu a été élu Président du Parlement moldave
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Marian Lupu

Les députés de la nouvelle alliance de gouvernement ont voté à l’unanimité pour l’unique candidat à la fonction de Président du Parlement – Marian Lupu. Le groupement parlementaire du Parti des Communistes n’a pas participé au vote.

Notons que conformément à la législation moldave, le président du législatif est élu par le vote secret des députés. Afin d’être élu, un candidat doit obtenir au moins 51 voix. La majorité parlementaire dans l’actuel organe législatif moldave est formée de 59 députés, représentants du Parti Libéral-Démocrate, du Parti Démocrate et du Parti Libéral.

Selon la Constitution moldave, avant l’élection du chef de l’état, l’intérim de cette fonction est exercée par le Président du législatif. Par conséquent, Marian Lupu est devenu Président intérimaire de la Moldavie.

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 09:53
30 décembre 2010 9:55 You are here:Home A la une DETOURNEMENTS AU NIGER : Des tuiles sur la tête de Tandja
DETOURNEMENTS AU NIGER

Les choses se précisent pour l’ancien colonel de l’armée et ancien chef de l’Etat du Niger. La commission d’enquête mise en place par la junte militaire pour traquer la délinquance financière sous le régime de Mamadou Tandja vient de donner une estimation des fonds détournés de leur destination initiale durant les dix dernières années. Le montant peut faire frémir : 64 milliards de francs CFA .

2000 personnes dont Tandja devront justifier de l’utilisation ou de la dissipation de ces fonds, soit l’équivalent de 6,4 milliards l’an. C’est un peu surprenant de la part de ce régime, dont le métronome a longtemps donné de lui-même, l’image de quelqu’un de rigide, droit et austère. Son seul grand défaut connu de tous, la veille de son débarquement par les militaires, était son entêtement à vouloir rester au pouvoir au prix d’un parjure qu’il a soigneusement emballé à travers l’adoption d’une nouvelle Constitution qui lui permettrait de  » terminer ses chantiers ». Mal lui en a pris parce qu’il est menacé désormais de deux procès : le premier, le moins attendu, porte sur les détournements de fonds. Le second, plutôt politique et très attendu, est à venir. Mais quand ? Les chefs d’accusation ne sont pas encore précis et la junte ne semblait pas très pressée d’y aller. Face à la pression internationale, notamment celle de la CEDEAO, les choses bougent, l’immunité du président Tandja a été levée et avec la publication des résultats de ces investigations, la justice peut désormais déclencher des procédures contre sa personne, dans les affaires où sa responsabilité serait engagée.

D’ailleurs, les dossiers de malversations financières qui sortent maintenant viennent plutôt comme une réponse à l’empressement de la CEDEAO de voir juger l’ex-président confiné en résidence surveillée depuis sa chute et sans possibilité de se préparer à une quelconque défense, faute de charges précises. Désormais, ses défenseurs savent à quoi s’en tenir. Le vrai procès du régime de Tandja risque d’être sa gestion économique et financière du pays comme si les promoteurs du tazartché n’étaient que de vulgaires affairistes dont les « chantiers » étaient plutôt éloignés des préoccupations du peuple. La Commission de lutte contre la délinquance économique, financière et fiscale et pour la promotion de la bonne gouvernance dans la gestion des biens publics, créée en mai 2010, a transmis quinze dossiers à la justice sur un total de cinquante qu’elle a eu à examiner. Vingt et un milliards sont à recouvrer par voie judiciaire et l’Etat est déjà rentré dans ses droits pour un total de cinq milliards de F CFA. L’œuvre de salubrité publique de la junte est donc en cours. Seulement, on se demande si la junte pourra aller jusqu’au bout de sa mission avec la proximité de l’élection présidentielle.

Abdoulaye TAO

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 09:59

NIAMEY — Des malversations financières portant sur plus de 64 milliards de FCFA (près de 98 millions d'euros) ont été commises en dix ans sous le régime de l'ex-président Mamadou Tandja, renversé en février, selon un rapport de la junte au pouvoir obtenu mercredi par l'AFP.

Des résultats d'enquête de l'inspection d'Etat "mettent en cause 2.069 personnes au titre de diverses malversations financières, allant du détournement de deniers publics aux indemnités indûment perçues", indique ce rapport mettant directement en cause M. Tandja, qui a dirigé le Niger de 1999 à février 2010.

Parmi ces personnes figurent des ex-ministres et députés, des militaires ainsi que des membres de la famille de M. Tandja, d'après ces investigations effectuées à la demande de la junte.

"Le total de ces irrégularités financières culmine à plus de 64 milliards de FCFA, dont 57 milliards de FCFA (près de 87 millions d'euros) de détournements pendant la période allant 2000 à 2010", ajoute le rapport.

Concernant M. Tandja, "plusieurs dossiers dans lesquels il est cité ont été finalisés et transmis aux autorités compétentes".

Les rapports des inspecteurs d'Etat sont épluchés par la "Commission de lutte contre la délinquance économique et financière", créée en mai par le chef de la junte, le général Salou Djibo. La commission notifie aux personnes incriminées les sommes à rembourser.

Les enquêtes ont déjà conduit à l'incarcération de plusieurs hauts responsables.

Dans une déclaration à la télévision d'Etat mardi soir, le président de la commission, Abdoul-Karim Mossi, a affirmé avoir reçu 50 dossiers relatifs à ces malversations et avoir réussi à récupérer 5,626 milliards FCFA (près de 8,6 millions d'euros).

Courant décembre, la Cour d'Etat du Niger a levé l'immunité de Mamadou Tandja, ce qui, selon le porte-parole du gouvernement Laouali Dan Dah, ouvre la voie à des poursuites judiciaires contre lui.

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 09:49

Publié le 15 décembre 2010 par Égalité

« J’aime la pluie ! », s’enthousiasme Elif Shafak, assise à une table de café du musée de la Tate Britain à Londres, par un jour de vent et de crachin d’octobre dernier. L’auteure turque de 39 ans, dont le dernier roman Soufi, mon amour est actuellement le plus vendu dans son pays, vient de s’installer dans la capitale britannique avec mari et enfants : « C’est là que va se dérouler l’action mon prochain livre », explique-t-elle.

Au même moment, de l’autre côté de la Manche, Soufi, mon amour sort dans les librairies françaises. C’est l’histoire d’une femme au foyer américaine qui tombe amoureuse d’un auteur soufi hollandais dont elle doit lire le manuscrit. Manuscrit qui lui-même relate une autre rencontre, celle du poète Rûmi et du derviche musulman Shams de Tabriz au XIIIe siècle. Subtilement, Elif Shafak y glisse une pique à l’encontre des fondamentalistes religieux qui réduisent la femme musulmane à la soumission. « Tout dépend de la version du Coran que l’on choisit », enseigne Shams de Tabriz.

Ce n’est pas la première fois qu’Elif Shafak s’exprime d’une voix libre sur des sujets qui font débat au sein de la société turque et orientale. En 2006, cette liberté de ton lui avait même valu un procès. Des ultranationalistes l’avaient alors poursuivie en justice pour « insulte à l’identité nationale », suite à la publication de La Bâtarde d’Istanbul. Elle y contait le parcours de deux familles, turque et arménienne, à travers le regard de plusieurs générations de femmes. Les juges avaient conclu à un non-lieu.

Trois ans plus tard, en 2009, elle lance un joli pavé dans la marre en publiant son premier ouvrage autobiographique Lait noir, dans lequel elle se penche sur le choix entre création et procréation susceptible de s’imposer aux femmes. Un roman écrit suite à 10 mois de dépression post-natale après la naissance de son premier enfant. « Ce livre ne porte pas uniquement sur la dépression post-partum. Il traite d’un dilemme universel : comment équilibrer les différentes voix que l’on porte en soi », précise Elif Shafak.

La place des femmes dans la société est un sujet récurrent pour l’auteure. Elle a été diplômée d’un master d’études sur le genre à Ankara (Turquie), avant d’enseigner les Women’s Studies dans le Massachusetts puis à l’université du Michigan aux Etats-Unis. Une curiosité intellectuelle aiguisée par l’environnement dans lequel elle a grandi : Elif Shafak a été élevée, entre culture orientale et occidentale, par deux femmes. Une mère divorcée, instruite et diplomate de métier, à l’image de la Turquie moderne. Et une grand-mère, plus proche de la culture orale et superstitieuse.

« Il est important de comprendre comment les sociétés patriarcales fonctionnent si l’on veut réduire les inégalités entre hommes et femmes», affirme-t-elle. « Je ne pense pas que l’on puisse poser un regard dual sur ces sociétés. On ne peut pas s’arrêter à l’idée que les hommes oppressent les femmes, point », poursuit-t-elle. Parce que les femmes peuvent s’oppresser entre elles également. Parce que les femmes peuvent s’autolimiter. Parce que les mères n’éduquent pas les petits garçons comme les petites filles. Parce qu’il est aussi difficile d’être un homme gay ou simplement efféminée dans une société patriarcale. « Mon approche des questions de genre est nuancée. Tout n’est pas blanc ou noir. En ça, j’ai une position post-féministe. »

Le post-féminisme ? « Je suis reconnaissante des combats qu’ont menés les féministes des générations précédentes. Nous leur devons de pouvoir profiter des libertés qu’elles ont acquises. Mais je veux aller plus loin. » Cela implique une démarche d’autocritique de la part des femmes : comment participent-elles à la reproduction des sociétés patriarcales ? Et comment en faire prendre conscience pour aller vers une société plus égalitaire entre les hommes et les femmes ?

Tout n’est pas blanc ou noir, mais tout n’est pas rose non plus. C’est cette couleur, le rose, qui a été choisi pour la couverture de Soufi mon amour en version turque. Une couleur aux accents féminins qui n’était pas sans engendrer une certaine gêne chez ses lecteurs masculins. Certains en venaient même à recouvrir l’ouvrage d’un papier plus neutre pour pouvoir le lire dans les lieux publics. Du coup, lors de la dernière ré-impression, la maison d’édition a opté pour une autre couleur : le gris.

Elif Shafak a publié quatre romans en français : La Bâtarde d’Istanbul (Phébus, 2007), Bonbon Palace (Phébus, 2008), Lait noir (Phébus, 2009), Soufi, mon amour (Phébus, 2010).

Claire Alet – EGALITE

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 09:38
   
 
 
 
 

APA-Niamey(Niger) Le Colonel Laouel Chékou Koré, officier de gendarmerie, explore dans un ouvrage intitulé « La rébellion touarègue au Niger » les péripéties de l’insécurités qui a sévit dans le nord-Niger, à l’orée des années 1990 et ayant eu des résurgences entre 2007 et 2008.

Paru récemment aux éditions « l’Harmattan », cet ouvrage de 150 pages, a déjà remporté le premier prix édition 2010 de cette institution, a indiqué Dénis Pryen, le directeur de « l’Harmattan », en marge d’une exposition-photo organisée dans le cadre du vernissage du livre.

l’histoire de la rébellion touarègue qui a sévi quatre années durant dans la partie Nord du Niger, s’est répétée entre 2007 et 2008, lorsqu’un groupe d’hommes constitués autour du Mouvement des Nigériens pour la justice (MNJ), avait décidé de prendre les armes pour revendiquer, entre autres la redistribution des gains issus de l’extraction des richesses minières ainsi que des actions en vue de l’autonomie des territoires du Nord (Aïr et Azawak) dans la région d’Agadez.

Dans cet ouvrage, le Colonel Koré, propose également quelques pistes de réflexions susceptibles d’enrayer une telle situation.

Ancien patron de la gendarmerie nationale et ex-préfet, le Colonel Chékou Koré, occupe actuellement les fonctions de président de la Haute autorité à la réconciliation nationale, une instance transitoire chargée de veiller entre autres au respect des accords de paix au Niger.

 

 

Source Agence Presse Africaine

 

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 15:04

dimanche 12.12.2010, 05:17  - La Voix du Nord

 L'astuce de Julien Sylvain: l'assemblage de quatre modules pour former un lit. REPRO «LA VOIX»L'astuce de Julien Sylvain: l'assemblage de quatre modules pour former un lit. REPRO «LA VOIX»
| INNOVATION |

Julien Sylvain est parti mardi pour le Niger. Il y a retrouvé la centaine de lits en carton que ce jeune Tourquennois a mis au point avec l'usine Smurfit-Kappa de Lys-lez-Lannoy. Ensemble, ils ont sans doute trouvé de quoi révolutionner la vie des populations sinistrées et des structures humanitaires. ...

Sur place, il y a urgence. « Des personnes ont été déplacées à cause de la crue du fleuve. C'est l'occasion de tester ce lit », explique le jeune entrepreneur de 25 ans, qui a créé sa société, Leaf Supply. Un banc d'essai grandeur nature avant de lancer la commercialisation de cette innovation, née de la rencontre avec des designers.

Le principe du lit est simple : un renfort en croisillon, une enveloppe. Le tout forme un module qui constitue un siège, une table, et donc un couchage quand quatre éléments sont joints. Entre le projet et la réalisation, il y a un monde. Julien Sylvain s'est adressé à un leader du carton installé près de chez lui : Smurfit Kappa, qui a une usine à Lys-lez-Lannoy, à côté de Roubaix.

« Une idée saugrenue »

« Quand on l'a vu, on s'est dit que ce n'était pas le premier qui arrivait avec une idée saugrenue », se souvient le responsable du bureau d'études. Mais dans l'usine, on a cru à ce projet et on a amélioré le modèle, désormais breveté.

Les avantages sont nombreux : le lit est incurvé, pour le confort, et résiste bien à l'humidité de l'air, « ce qui le rend adapté aux situations d'urgence dans des pays tropicaux ».

Son principal atout est de pouvoir être fabriqué partout dans le monde. « Il suffit qu'une usine de carton standard soit équipée d'un engin de découpe. » Or le partenaire industriel est présent dans trente-deux pays, ce qui limite les coûts de transport. Le site de Smurfit Kappa en République dominicaine pourrait fabriquer des lits pour Haïti. Outre les lits envoyés au Niger pour Shelter Box, Julien Sylvain a doté la Sécurité civile et le ministère des Affaires étrangères. « Plusieurs ONG et organismes de premiers secours sont déjà intéressés. » • M. G.

www.leafsupply.com.


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13 décembre 2010 1 13 /12 /décembre /2010 19:29

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Le bois de Vincennes que Napoléon III a offert aux Parisiens est un lieu de relégation pour les « hyperpauvres » de l’Ile-de-France, ceux qui n’ont pas de domicile fixe. En grande majorité des hommes qui représentent 83% de la population des SDF à Paris [1]. Le bois fait l’objet d’études en sciences sociales qui ont été présentées à Saint-Dié comme hautement « stratégiques » (sic), expliquant le faible nombre d’articles sur cet espace. Il revient, néanmoins, dans l’actualité à l’occasion des vagues de froid, poussant à se demander comment les cent quarante SDF repérés à l’automne 2010 peuvent survivre à pareilles dégringolades du thermomètre.

 

Les cafés géo

 

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13 décembre 2010 1 13 /12 /décembre /2010 19:11

LES SÉNATEURS, qui poursuivent l’examen du projet de budget pour 2011, ont voté plusieurs amendements annulant les
restrictions à l’Aide médicale d’État introduites par les députés et souhaitées par le gouvernement. À savoir le droit d’entrée de 30 euros par an et la limitation des ayants droit ainsi que l’exclusion de l’aide des actes considérés comme à faible service médical rendu, tels que le traitement de la stérilité ou les cures thermales. « L’AME correspond à des soins de première nécessité, a expliqué le sénateur UMP et médecin Alain Milon, rapporteur pour avis de la commission des Affaires sociales et auteur de l’un des amendements. Les cures thermales et les fivetes ont été citées mais ces exemples ne correspondent à aucune réalité constatée. D’autre part, le risque de tourisme sanitaire est sans objet, puisque les étrangers gravement malades, lorsqu’ils arrivent en France, relèvent de la CMU et de la CMU-C. » Les autres amendements ont été déposés par les groupes Union centriste, CRC-SPG (communiste et Parti de gauche) et RDSE (à majorité radicaux de gauche) et les sénateurs Verts-Europe Écologie. Pour Alain Milon, l’AME « relève de la solidarité nationale, pas d’une logique d’assurance ». « La somme de 30 euros équivaut à 8 % des revenus des bénéficiaires, ajoute-t-il, ce serait une entrave aux soins, poussant les bénéficiaires vers la CMU. »

 

Le Quotidien du Médecin » 08 décembre 2010

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13 décembre 2010 1 13 /12 /décembre /2010 19:01

Les ZINCS Chantent

    JEUDI 16 DECEMBRE :

- 18h30 / Bar de la Mairie (rue Franki Kramer) : DAVID TETARD
- 20h45 / Bar de la Fontaine (Boulieu-lès-Annonay) : RASPAIL  

    VENDREDI 17 DECEMBRE :
- 18h30 / Brasserie du Vivarais (place du Champ de Mars) : SUISSA

- 20h45 / Bar de la Fontaine (Boulieu-lès-Annonay) : SLASH GORDON  
- 22h15 / Café du Midi (place des Cordeliers) : ALTAM 
 
    SAMEDI 18 DECEMBRE  :
- 17h00
/ Bar des Sportifs (rue Récluzière) : VERONE
- 18h30
/ Le Commerce (place de la Liberté) : LES 2 MOIZELLES DE LA CHORALE MUNICIPALE DE SAINT BENET LA CHIPOTTE 
- 20h45 / Ellis Park (place de la Liberté) : MARIANNE AYA OMAC
- 22h15 / Liberté Café (place de la Liberté) :  OSKAR ET VIKTOR

Retrouvez le programme détaillé à télécharger sur http://www.lapresquile.fr/style/festival-lzc.pdf

Et avant le festival, n'oubliez pas mercredi 15 à 15h, la séance tout public des concerts Dose le son sur la prévention des risques auditifs avec L'Emigrant ; c'est gratuit.

A bientôt musicalement,

--

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10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 17:55

invitation_portes-ouvertes_2010-12.jpg

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