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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 07:11
La Région s’engage chaque année davantage pour une mobilité durable


Dans le cadre du budget 2009, plus de 550 millions d’euros sont consacrés à la mobilité durable. La majorité régionale poursuit ainsi son engagement pour développer et consolider des services de qualité dans les transports ferroviaires. A l’heure où 76% des Français considèrent qu’un changement comportemental en matière de déplacement est indispensable pour lutter contre le changement climatique, la phase 2 du cadencement augmente encore l’offre de transport. Depuis 2008, c’est 12% de trains supplémentaires qui circulent sur les voies chaque jour. La Région agit donc au quotidien au plus près des préoccupations de nos concitoyens.

La fréquentation des TER est en constante progression, les parkings des gares ne suffisent plus, les places pour les vélos sont prises d’assaut, tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes…Evidemment non ! Car Le retard accumulé depuis des décennies pour les infrastructures ferroviaires et le matériel roulant est tel que nous sommes actuellement dans une situation pour le moins étrange. En effet, alors que la Région n’a jamais autant investi depuis 2004 en faveur des TER et que les rhônalpins sont de plus en plus nombreux à les utiliser, on est bien obligé de se demander ce que fait l’Etat pour qu’enfin une véritable politique ferroviaire, voyageurs et fret, existe en France. Le Grenelle de l’environnement a entretenu l’illusion, le plan de relance fait de même, la traduction financière tarde à venir. Pour que les TER soient à l’heure, ce qui est la demande première de la Région et des usagers des transports, les infrastructures doivent permettre d’absorber l’augmentation du trafic et le matériel roulant doit être performant. Si la Région agit sur la modernisation du matériel roulant, nous demandons à Réseau Ferré de France d’améliorer le réseau ferroviaire.

Nous demandons aussi à la SNCF que dans le cadre du respect de la convention avec la Région, tout soit mis en œuvre pour que la ponctualité soit au rendez vous en 2009 sur l’ensemble des lignes de Rhône-Alpes.

La Région agit pour la mobilité durable, tous les autres acteurs doivent en faire de même, il en va de l’avenir du transport en Rhône-Alpes.

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 07:07

6 février 2009 : date limite de dépôt des dossiers emploi tremplin

24 février 2009 : remise des projets pour « la Région célèbre la francophonie »

Inscription ouvertes sur le site de la région rencontre « la démocratie participative pour l’égalité femmes-hommes » au siège du Conseil Régional 6/7 Mars

9 mars 2009 : remise des projets pour le prix du jeune européen


16 mars 2009 : date limite de remise des dossiers de l’appel à Projet
vie associative

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 07:03
Rhône-Alpes a mis en œuvre le dispositif de bourses MIRA (Mobilité Internationale Rhône-Alpes) pour un montant de 1 520 000 € en 2007. Ce programme permet à des étudiants, doctorants ou enseignants-chercheurs étrangers de venir suivre un cursus universitaire en Rhône-Alpes sur un an. MIRA soutien également le développement de filières conjointes avec un établissement étranger (codiplomation, enseignement conjoint ou création d’une filière francophone dans l’établissement étranger partenaire). Dans ce cadre, en 2007, 344 bourses ont été accordées et 50 projets de filière soutenus afin d’accroître la visibilité de Rhône-Alpes à l’international par un soutien affirmé à la Recherche. Ce dispositif est complété par les bourses « EXPLO’RA Sup » et « EXPLO’RA Doc » qui encouragent la mobilité internationale étudiante.
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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 19:22

 

 

Mesdames et Messieurs les élus,

Mesdames et Messieurs,

 

Le festival

A l’occasion de l’ouverture de cette 26 ème édition du Festival du 1er Film au nom du conseil Régional, je veux à la fois souligner l’originalité de ce festival, sa réussite et l’inscrire dans la politique régionale et nationale.

1. Le premier objectif de ce festival comme son titre l’indique, est de promouvoir des  réalisateurs et leur première œuvre non encore commercialisée.  Le festival d’Annonay remplit parfaitement son rôle puisque des films primés  en 2007 comme  « La part animale » de Sébastien Jaudeau, Mouth to mouth et l’Audition ont été programmés dans les salles dès 2008.

2. Ce festival n’est pas qu’un évènement ponctuel. Il anime notre territoire, non seulement pendant le temps fort d’une semaine intense, animée que beaucoup attendent, mais il se développe  tout au long de l’année par des actions de diffusion, d’animation et de formation autour du cinéma  entre autre dans le cadre des dispositifs régionaux Lycéens et apprentis au cinéma et la carte M’RA.. Fruit de ces actions et de la volonté des enseignants une option cinéma a  été ouverte l’an dernier au  lycée public Boissy d’Anglas .

Le festival c’est Annonay mais aussi Bourg Argental , St Julien Molin Molette et St Vallier.

 

 

 

Politique régionale

 Depuis  2004, la région présidée par JJ Queyranne,  affiche  clairement de ne plus reléguer la culture au second plan, même si ce n’est pas une compétence régionale obligatoire. Le budget global de la culture est, toutes directions confondues, de 60 millions d’euros et il a  doublé en quatre ans. L’aide à ce festival est maintenu à hauteur de 23 000 euros

La politique en faveur du cinéma et de l’audiovisuel a été la première politique culturelle revisitée en  2005. Il est vrai que la région a une longue  histoire avec le cinéma et qu’elle a le réseau de salles le plus dense de France.

4 axes :

Mettre nos dispositifs en adéquation avec les besoins d’une filière fortement pourvoyeuse d’emplois, axée autour de quatre pôles d’excellence en Rhône-Alpes : le cinéma à Lyon et Villeurbanne, le documentaire à Lussas en Ardèche, l’animation à Annecy et dans l’agglomération valentinoise. Deux pôles d’animation, un pôle cinéma, et un pôle documentaire, qui placent donc Rhône-Alpes dans le peloton de tête des régions française les mieux équipées et les plus reconnues sur le plan national et international dans le secteur de l’image.

Mettre  sur pied le cluster Imaginove, qui regroupe tous les professionnels régionaux du cinéma, de l’audiovisuel, de l’animation et du jeu vidéo, soit 650 entreprises en 2008.

Soutenir  la création : aides à la production de films de long métrage, via Rhône-Alpes Cinéma (qui coproduit une douzaine de films par an), avec une enveloppe de plus de 3 M€ chaque année,

Fonds de soutien à la création courts-métrages, aides à la production audiovisuelle, ou encore aides à l’écriture, avec une enveloppe de plus de 2 M€ chaque année (un budget multiplié par 5 en trois ans).

Soutenir la diffusion par des dispositifs en direction des salles indépendantes , particulièrement dans le passage au numérique qui nécessite 80 000 euros par cabine de projection.

L’avenir du cinéma est aussi assombri par la réforme de l’audiovisuel qui entraîne une baisse des budgets dévolus à la création, car les chaînes notamment publiques étaient les 1ers financeurs du cinéma français. Les premiers films étaient difficiles à financer, ils le seront davantage encore. Aussi votre festival s’avère –t-il encore plus précieux et exceptionnel.

Merci à l’équipe du festival menée par Gaêl Labanti, merci à la ville d’Annonay qui le reçoit, merci aux partenaires associatifs et privés  et au public qui j’en suis sure, sera  fidèle au rendez vous.  Bon festival et allons découvrir comme le disait Cocteau cette « écriture moderne dont l’encre est la lumière ». 

 

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 10:45

 

La croissance de la population se diffuse sur l'ensemble du territoire rhônalpin

INSEE Rhône-Alpes : janvier 2009   Maud Coudène, Insee

Entre 1999 et 2006, la population a augmenté sur la quasi-totalité du territoire régional. La croissance démographique a été soutenue à la fois par la dynamique naturelle et par un solde positif des entrées-sorties. La périurbanisation se poursuit et les augmentations de population déjà observées depuis 1990 dans les centres urbains et le rural isolé s'amplifient.

Au 1er janvier 2006, selon les résultats définitifs du nouveau recensement de la population, la région Rhône-Alpes comptait 6 021 000 habitants. Deuxième région la plus peuplée de France, elle a gagné 375 000 habitants depuis 1999, soit une croissance annuelle moyenne de 0,9 %, supérieure à celle de la France métropolitaine (0,7 %). Ce rythme de croissance place Rhône-Alpes au 7ème rang des régions de France métropolitaine, alors qu'elle figurait à la 4ème place au cours des années 90.

Sur longue période, entre 1962 et 2006, la population de Rhône-Alpes a augmenté de 50 %, tandis que celle de la France s'est accrue de 32 %. Du fait de la présence de plusieurs grandes agglomérations, Rhône-Alpes affiche une densité de population de 138 habitants au km², supérieure à la moyenne nationale (113 hab./km²). Depuis 1999, la densité s'accroît chaque année d'un peu plus d'un habitant au km².


La quasi-totalité des territoires en hausse

L'essor démographique de la région concerne la quasi-totalité du territoire rhônalpin. Entre 1999 et 2006, la population a augmenté dans plus de 87 % des communes de la région1, dans la totalité des 27 zones d'emploi, et dans chacun des huit départements. Par ailleurs, la Communauté urbaine de Lyon et toutes les Communautés d'agglomération de la région voient leur population croître, à l'exception de celles de Saint-Étienne Métropole et du Grand Roanne.

La Haute-Savoie et l'Ain sont les départements où la croissance démographique est la plus importante (1,4 % par an). Les hausses des autres départements avoisinent les 1 %, à l'exception de la Loire qui reste loin derrière (0,2 %).

Avec une croissance de près de 2 % par an, le Genevois français reste l'espace le plus dynamique de la région, en lien avec le développement de l'agglomération franco-valdo-genevoise. Par ailleurs, les territoires situés entre la métropole lyonnaise et le sillon alpin, notamment autour de Bourgoin-Jallieu et de La Tour-du-Pin, connaissent une nette accélération de leur croissance démographique. Ils bénéficient à la fois de l'attractivité économique des grands pôles urbains environnants et d'un coût du logement moins élevé que dans les territoires plus proches des grandes agglomérations.

Dans la région lyonnaise, un double mouvement se dessine : le regain du centre s'amplifie, et, en périphérie, la croissance démographique augmente avec l'éloignement de Lyon.

(1) 2 517 communes sur un total de 2 879.

D'autres espaces de la région bénéficient également d'une croissance importante de leur population. C'est le cas de l'Ardèche méridionale, de la Drôme provençale et de la Plaine du Forez.

Les diminutions de population sont circonscrites à trois types d'espaces : les villes centres de certains bassins industriels (notamment Saint-Étienne, Roanne, Saint-Chamond, Oyonnax), quelques communes de banlieue des grandes agglomérations (dont Firminy et Le Chambon-Feugerolles dans la vallée de l'Ondaine, mais aussi Meylan et Saint-Martin-d'Hères, dans la banlieue grenobloise) et quelques cantons ruraux de moyenne montagne, au pourtour de la région (comme la Pacaudière dans la Loire et le Cheylard en Ardèche).

 

Poursuite de la périurbanisation, retour de la croissance démographique dans les centres urbains et dans le rural isolé

La périurbanisation du territoire, observée depuis le milieu des années 70, se poursuit en Rhône-Alpes. Parallèlement à ce phénomène, la reprise de la croissance dans les centres urbains et dans le rural isolé, constatée à partir des années 90, se confirme. Les arbitrages entre qualité de vie, coût du logement et temps de transport conduisent à des stratégies différenciées de localisation des ménages.

Le phénomène de périurbanisation perdure dans la région et fait sentir son influence sur des territoires de plus en plus éloignés des pôles urbains. La région lyonnaise en est l'illustration. Dans les années 80 et 90, l'essor démographique a été conséquent dans la Dombes et à l'est des Monts du Lyonnais. Depuis 1999, la croissance s'est déplacée plus loin, dans la Plaine de l'Ain, le Nord-Isère, l'ouest des Monts du Lyonnais et le Val-de-Saône.



Cette avancée du périurbain sur les territoires ruraux limitrophes crée des espaces de plus en plus denses entre les différentes agglomérations de la région. L'étalement urbain gagne ainsi le long des axes Lyon-Grenoble-Chambéry, Lyon-Mâcon, dans la Vallée du Rhône et le sillon alpin.

Conjointement à ce phénomène de périurbanisation, la population des centres urbains augmente à nouveau de façon significative dans la région. Cette tendance fait suite à une baisse importante dans les années 70, puis à une stagnation jusqu'aux années 90. Ce regain démographique résulte d'une diminution du déficit migratoire, que l'on observe dans l'ensemble des grands pôles urbains. Le solde apparent des flux migratoires redevient même positif pour l'agglomération lyonnaise, notamment à Lyon et Villeurbanne, en lien avec l'augmentation sensible du nombre de logements.

Après plusieurs décennies d'exode rural, le regain démographique des espaces ruraux plus éloignés des grandes villes se confirme. La croissance y est soutenue principalement par l'installation de nouveaux habitants, dont vraisemblablement une proportion importante de retraités. Leur arrivée permet un nouveau développement de l'économie locale qui pourrait amplifier la croissance démographique de ces territoires dans les années à venir.

 

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 10:21
Ringardises des éditeurs scolaires ou économies éditoriales en utilisant le stock d'images? 

On pourrait penser que ce texte  sélectionné dans la lettre hebdomadaire du planning familial datait des années 70. Et non janvier 2009 !

 Les manuels scolaires, vecteurs de stéréotypes
Les femmes, handicapées, seniors, et homosexuels sont quasiment invisibles. Sur vingt-neuf manuels scolaires étudiés, soit un total de 3 097 illustrations, trois images sur 4 mettent en scène un homme. Quand elles sont représentées, les femmes symbolisent un métier moins valorisé socialement et moins payé. Elles arborent des tenues de secrétaires ou d’infirmières et aux hommes sont dévolus les rôles de chefs d’entreprise et de médecins. Voilà ce qui ressort d’une analyse sur la place des stéréotypes et des discriminations dans les manuels scolaires réalisés par des chercheurs de l’université de Paul Verlaine de Metz à l’initiative de la Halde. Certaines catégories de la population y sont sous-représentés ou lorsqu’elles n’apparaissent pas assez en tant que personne ou simple individu. Sur l’ensemble de l’iconographie, 194 présentent des personnes originaires d’Afrique ou du Moyen Orient. Il s’agit souvent de gens en situation de pauvreté. Le handicap est encore plus rarement évoqué, avec seulement 25 images. Elles servent essentiellement à illustrer une pathologie. Les seniors eux sont évoqués dans des situations liées à des problèmes de santé, d’isolement, de déficience physique ou d’inactivité enfin, les manuels font totalement l’impasse sur l’homosexualité. Le président de la Halde. Louis Schweitzer constate que les manuels reflètent plutôt la société d’hier que celle nous voudrions avoir et qu'ils n'incitent pas à dépasser les stéréotypes. La Halde demande notamment de corriger les stéréotypes existants de veiller à la féminisation des fonctions de présenter les missions de la Halde et de s'assurer d'une représentation réélle de la société.
Lettre La Famille et l'Ecole
 » janvier 2009
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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 10:10

Aux cotés du Planning Familial,

défendons le droit à l’information,

à l’éducation à la sexualité,

pour toutes et tous

 

 

 

En diminuant de 42 % dans la Loi de Finances 2009 le montant affecté au conseil conjugal et familial, l’Etat programme à très court terme la suppression totale des actions d’information, d’éducation et de prévention dans les domaines de la sexualité et de la vie de couple et affective.

 

Par cette décision, l’Etat montre sa volonté d’abandonner les missions qui sont les siennes quant à l’accueil, l’information et la prévention concernant la contraception, la fécondité, la sexualité. Il se désengage, par là, de la préparation des jeunes à la sexualité, à leur vie de couple et à la fonction parentale. Il marque son désintérêt pour les pratiques d’accueil et de conseil, qu’elles soient mises en oeuvre lors d’activités collectives ou d’entretiens individuels.

 

Ces missions d’utilité publique sont donc très clairement menacées par la baisse des financements, déjà largement insuffisants, alors que la Loi Neuwirth a clairement affirmé le rôle essentiel joué par les associations aux côtés de l’Etat.

 

Pourtant, dans une société où les relations filles-garçons sont de plus en plus marquées par la violence, où les campagnes nationales de prévention et d’information ont besoin des relais de terrain pour être efficaces, ces missions définies par la loi, plus que jamais, sont primordiales !

 

450.000 personnes bénéficient chaque année des actions du Planning Familial dans ses 70 associations départementales de Métropole et des DOM. La conséquence de cette brutale démission de l’Etat est la fermeture programmée d’un grand nombre de ces lieux d’accueil individuels et collectifs.

 

 

L’Etat doit assurer sa responsabilité nationale pour l’information, l’éducation à la sexualité, et la prévention pour toutes et tous conformément à l’article 1 de la Loi 73-639 du 11 juillet 73.

 

L’Etat ne doit pas supprimer les lieux d’écoute et de parole, mais les développer.

 

L’Etat ne doit pas supprimer les interventions collectives, mais les développer.

 

L’Etat doit donner aux associations qui assurent ces missions, les moyens aujourd’hui nécessaires, pour le développement de leurs activités et de leurs interventions.

 

 

Tous ces acquis sont récents, ces droits sont fragiles,

Nous avons lutté pour les obtenir

Luttons ensemble pour les défendre !

 

 

Vous souhaitez soutenir Le Planning Familial, signez la pétition.

www.planning-familial.org/petition-defense-loi-neuwirth

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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 16:08

OUI à la réforme territoriale

NON aux manoeuvres

Si un grand débat sur les compétences des collectivités territoriales, leur répartition et leur financement est légitime et nécessaire, les élus du groupe socialiste, écologiste et apparentés ne sont pas dupes. Ce qui intéresse Nicolas Sarkozy et sa majorité c’est avant tout le changement du mode de scrutin régional afin d’en tirer un bénéfice électoral.

 

Loin des manoeuvres politiciennes de l’UMP, le groupe socialiste, écologiste et

apparentés réaffirme la nécessité d’une profonde réforme territoriale répondant à des objectifs de renforcement de la démocratie, de clarification des rôles, d'efficience accrue de l'intervention publique.

Cette réforme doit donc :

Clarifier et étendre les compétences des différentes collectivités.

Supprimer les services d’Etat déconcentrés qui doublent les compétences des collectivités.

Attribuer clairement aux régions le rôle de chef de file dans ce qui constitue le coeur de leurs

compétences (les transports régionaux, développement économique, la formation initiale et tout au

long de la vie, environnement, etc.)

Accorder aux Régions l’autorité de gestion pour l’ensemble des fonds structurels européens.

Maintenir la clause de compétence générale pour les Régions, notamment en raison de leur

compétence en matière d'aménagement du territoire.

Garantir aux collectivités les moyens financiers d’assumer les compétences qui leur sont confiées par la

promotion d’une fiscalité juste, respectant l’autonomie financière des collectivités, et par la mise en

oeuvre d’un système de péréquation amélioré.

Reconnaître aux collectivités un droit à l’expérimentation sur des objets et projets précis, sur une durée

limitée.

Enfin, toute modification du mode de scrutin qui aboutirait à un affaiblissement de la vie démocratique et du lien entre la Région et les électeurs relèverait d’une manœuvre électoraliste inacceptable. Nous demandons le maintien du mode actuel d'élections régionales ainsi que du calendrier électoral. Ce système est équitable. Il assure la représentation de la diversité, l’existence de majorités stables et il permet le respect de la parité.

 

 

 

 

 

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 16:53
 Le Jeudi 15 Janvier, Yvon Deschamps à mon invitation a rencontré artistes et structures culturelles sur le Nord Ardèche et à St julien Molette. Accompagné de la Directrice du service de la culture et de son chargé de mission il a rencontré :

- Annie Zadek écrivaine, Markus Streider plasticien (image), Gizèle Jacquemet, Christophe Gonnet plasticien, Jean Louis Gonterre photographe, Delphine Gaud chorégraphe




- l' Essaim de Julie lieu de résidence artistique et de diffusion du Spectacle vivant, L'Ile au Large, l'Apsoar et le SOAR (Scène ouverte des Arts de la Rue), le GAC (Groupement d'Art Contemporain), Vochora. Ces associations aidées par la région diffusent la culture sur notre territoire. 

- des organisateurs de festivals très variés: Equiblues ( St Agrève),  La Fôret des contes (Vocance), Lectures sous l'Arbre ( Chambon sur Lignon), Le festival du 1er Film ( Annonay) Fest' Route (Tournon), Festival des Arts ( St Agrève)

- des animateurs de lieux culturels : ceux des musées du Car à Vanosc, des Papeteries à Davézieux, des Mariniers à Serrières, du Théatre Don Carlo à St Agrève, des Ecrans de la Drôme et de l'Ardèche

- des représentants des Lycées qui participent aux actions culturelles de la Région.

Ces rencontres se sont terminées par une réunion à la Presqu'île pour une présentation de l'ensemble de la Politique régionale de la culture. Le Président Queyranne a fait le choix politique d'investir dans ce champ essentiel pour la qualité de vie des citoyens, leur ouverture au monde et l'économie régionale, bien que cela ne soit pas une compétence obligatoire de la région. Un exemple, pour le cinéma 1 euro investi en rapporte 7 à l'économie régionale.
50 personnes, élu-e-s, membres d'associations, responsables culturels étaient présents. Qu'ils en soient tous remerciés.

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 16:48

Elles refusent cette distinction

La mathématicienne Michèle Audin, professeur à l'université de Strasbourg, a refusé la légion d'honneur. Fille de Maurice Audin, disparu à Alger en 1957, après avoir été arrêté par des militaires français, les lettres de sa mère demandant à l'état français de faire la vérité sur cette disparition n'ont jamais reçu de réponse, elle déclare en conséquence ne pas souhaiter recevoir cette décoration...



Deux journalistes 
Les journalistes Françoise Fressoz et Marie-Eve Malouines, respectivement chefs du service politique du Monde et de France Info, ont annoncé lundi 5 janvier qu'elles refusent la Légion d'honneur, après
avoir découvert leur nom sur la promotion du Nouvel an.(...) Françoise Fressoz, chef du service politique du Monde. "Rien, dans mon parcours professionnel, ne justifie pareille distinction. Je pense en outre que,
pour exercer librement sa fonction, un journaliste politique doit rester à l'écart des honneurs. Idem pour Marie-Eve Malouines. (...)
Les deux journalistes figurent sur la liste des personnalités nommées chevaliers
publiée le 1er janvier au Journal officiel et présentée par Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement.


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