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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 09:21
1ères Rencontres nationales de l'autopartage

Les premières Rencontres Nationales de l'Autopartage, dont le GART est partenaire, auront lieu les 12 et 13 mai à Strasbourg et sont organisées par le réseau France Autopartage et la coopérative Auto'trement. L'objectif de ces rencontres est de réunir les différents partenaires et acteurs de la mobilité et de l'aménagement urbain pour établir le bilan de 10 ans d'autopartage en France et d'en analyser ses potentialités.

Toutes les informations disponibles sur le lien  link
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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 09:19

Pour les modalités du concours et inscription.link

 

En 2011, le GART a 30 ans ! L’occasion de faire le point sur la vision prospective de la mobilité telle que le GART, nourri par son histoire et ses travaux récents, la voie à horizon 2020. Cet anniversaire est donc le moment idéal pour faire le lien entre les générations. C’est pourquoi les élus du GART ont souhaité associer à leur mission prospective les étudiants. Comment celles et ceux qui seront en charge des transports en 2020 et après, dans les autorités organisatrices de transport, chez les opérateurs, les bureaux d’études ou les agences d’urbanisme, envisagent la mobilité et le transport dans le monde de demain ?

Le GART lance un concours à destination des étudiants des filières transport, urbanisme, aménagement du territoire, logistique, économie des transports, sciences politiques, sociologie, communication et sciences de l’ingénieur. Ils sont invités à contribuer à la réflexion des décideurs en s’appuyant sur leurs travaux universitaires. Les sujets pourront couvrir tous les champs liés à la mobilité (véhicules, aménagement de l’espace, gouvernance, financement, innovation, intermodalité, infrastructures, maîtrise de l’énergie, intermodalité, etc…).

Les candidats ont 6 mois pour proposer leurs idées aux élus. Un jury d'experts, d’universitaires, de décideurs publics est mobilisé. Les 3 meilleures contributions seront récompensées par une dotation (3 prix : 2.500 €, 1.500 €, 1.000 €). Les projets remarqués par le Jury seront publiés dans l’ouvrage des 30 ans qui sera offert à tous les acteurs de notre secteur lors des prochains vœux du GART en janvier 2012.

 

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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 09:12

 

 

Mardi 26 avril, Nicolas Sarkozy et Silvio Berlusconi se rencontraient pour évoquer entre autres la situation des migrants Tunisiens arrivés récemment en Italie avec l’intention de rejoindre la France.

A cet égard, à l’issue de la rencontre d’aujourd’hui, les deux chefs d’État ont annoncé vouloir travailler à des « modifications » du traité de Schengen, notamment « des clauses de sauvegarde » dans « des circonstances exceptionnelles ».

Ce sommet est la grotesque confirmation qu’après plusieurs semaines de bras de fer ubuesque et stérile engagé entre Rome et Paris, les deux dirigeants, cherchent à tout prix à sortir de la nasse dans laquelle ils se sont eux-mêmes placés.

Tout, dans leurs « décisions » n’est que ballon-sonde lancé en direction de leur électorat d’extrême-droite.

S’il est juste de considérer que la gestion d’un afflux de migrants doit être de la responsabilité de l’Union européenne, aménager les accords Schengen à la manière des deux chefs d’État témoigne soit d’une ignorance totale de la législation européenne, soit, et plus certainement d’ailleurs, de leur obstination à refuser de bâtir des solutions européennes, voire à les invalider.

Les accords Schengen prévoient d’ores et déjà, notamment en cas de risque de troubles à l’ordre public, des aménagements en cas de « circonstances exceptionnelles ». Les deux gouvernements disent vouloir les redéfinir. Et bien je dis : chiche ! Et nous verrons bien si 25 000 migrants constituent des « circonstances exceptionnelles » ou des « troubles à l’ordre public » ingérables et de nature à faire vaciller les fondamentaux de la construction européenne.

L’enjeu de ce sommet, du point de vue de Messieurs Sarkozy et Berlusconi, n’était évidemment pas là. Il aurait pu être un sommet de la commedia dell’arte ; il n’est au final qu’une de ces mauvaises pièces de théâtre de boulevard qui cherche une issue à tout prix au ridicule de ses acteurs.

Et c’est pourquoi sans doute ils ont détourné l’attention sur le terrain économique, annonçant leur accord sur la constitution de groupes binationaux et sur la future présidence de la Banque Centrale Européenne. Sommet franco-italien ? Business as usual !

 

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 17:59
Publié le 26 avril 2011 par groupe socialiste

 

On parle plus souvent des marchés publics pour les scandales qui les entourent parfois que sur le fond de leur constitution. Une fois n’est pas coutume, arrêtons-nous aujourd’hui sur cette question des marchés publics, pour en comprendre un peu mieux les ressorts.

 

Les marchés publics, c’est donc ce qui permet aux collectivités (et aux autres instances publiques) de faire toute sorte d’achat ou de commande pour mener leurs politiques et assurer leur fonctionnement. Des fournitures de bureau à la construction d’un lycée, tout passe par les marchés publics. Il existe en outre différentes règles, régissant la publicité des annonces pour les commandes à passer. Elles sont fonction de la nature des marchés (services, travaux, fournitures…) et des montants .  La sélection des entreprises pour les marchés formalisés se fait au sein de la Commission d’Appel d’Offres, qui, à la Région, se réunit une fois par semaine sous la présidence de la socialiste Elyette CROSET-BAY. Des élus de chaque groupe politique représenté à la Région y siègent, et la collectivité est tenue de retenir les propositions les plus avantageuses économiquement. Cela ne signifie pas nécessairement les moins chères mais, en quelque sorte, le meilleur rapport qualité-prix !

 

Dans cette jungle des marchés publics – la Région contractent plus de 500 marchés par an- il peut être difficile pour les Petites et Moyennes Entreprises d’y accéder. Rhône-Alpes a donc mis en place différents dispositifs pour leur faciliter l’accès à ces marchés (lire l’interview d’Elyette Croset-Bay dans le Progrès). Ainsi, la Région a élevé le seuil des avances et des acomptes pour les marchés supérieurs à 20 000 €. C’est un avantage pour les PME, qui peuvent souvent être confrontés à des difficultés de trésorerie, par exemple pour répondre à des marchés de travaux durant plusieurs mois. D’autre part, différentes actions d’information et de sensibilisation ont été développées, à destination particulièrement des PME pouvant être noyées dans l’abondance des règles entourant les procédures d’achat public : édition de mini-guides, site Internet de la région, journées d’information dans les antennes départementales de la Région, etc. La Région essaye enfin de mener une sélection fondée plus sur les capacités des entreprises que sur les références et s’attache à aménager les critères notamment pour le développement durable, pour les PME n’ayant pas toujours les moyens financiers de faire formellement certifier leur démarche en la matière

 

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 17:53

© European Union 2011 PE-EP/Pietro Naj-Oleari

Les choses ne vont pas en s’arrangeant en Hongrie. En effet, le premier ministre Viktor Orban a fait adopter à une très large majorité par le Parlement national une nouvelle constitution, dont les termes sont particulièrement inquiétants : exclusivité des références religieuses chrétiennes, attaque contre l’homosexualité, remise en cause de l’avortement, nationalisme échevelé… tout y passe.

L’adoption de cette nouvelle constitution pose un certain nombre de problèmes.

Sur le plan national hongrois, je m’interroge sur l’aspect pour le moins partisan de ce texte. Certes, le Fidesz dispose d’une confortable majorité des deux tiers au Parlement et le vote du texte est incontestable. Mais pour autant, est-il vraiment démocratique ? La Constitution d’un pays n’est pas une « simple » loi soumise au rapport de force politique ; elle est censée être un texte fondateur, établissant les règles et valeurs communes à toute une communauté nationale, au-delà des enjeux partisans. La voie référendaire est donc souvent la plus appropriée pour aboutir à ce nécessaire consensus national. Dans le cas présent, j’y vois plutôt une offensive partisane, extrêmement conservatrice et provocatrice, à tel point que l’ensemble de l’opposition politique, de la société civile et de la presse a baptisé ce texte la « Constitution Orban ».

Sur le plan des institutions européennes, il faut rappeler que Viktor Orban préside le Conseil européen jusqu’au 1er juillet prochain. Il est donc supposé incarner et défendre les valeurs communes européennes. Après les soubresauts en janvier sur la loi sur les médias, ce nouvel épisode est embarrassant pour l’Union Européenne.
Disons-le tout net, il est déplorable que l’Union soit aujourd’hui dirigée par un homme et un gouvernement aussi terriblement éloignés des conceptions communes.

Mais alors que peuvent faire les institutions européennes ?

Tout d’abord, comme cela avait justement –et péniblement !- été le cas à propos de la loi sur les médias, les institutions européennes (en l’espèce la Commission, gardienne des traités), doivent très vite et très sérieusement vérifier la conformité de cette nouvelle Constitution avec les traités européens, et en demander la modification le cas échéant. La Commission avait fait preuve en janvier d’une incroyable frilosité, témoignage de cette éternelle tension entre une plus forte intégration européenne et le respect des sacro saintes souverainetés nationales.

Dans un contexte de progression de l’extrême droite un peu partout en Europe, poussée imputable entre autres à une désespérance économique et sociale, l’Union a plus que jamais l’impérieuse responsabilité d’apporter des réponses. Des réponses fermes sur les principes, et des réponses efficaces pour l’avenir. Faute de quoi, l’Union européenne finira par ressembler réellement à la coquille vide que certains dénoncent et donner raison à ces gouvernants populistes.

Le bras de fer promet d’être rude ; or le temps presse !

 

http://www.sylvieguillaume.eu

 

 

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 17:44

L’IPP menacé de liquidation judiciaire

Publié le 27 avril 2011 par Égalité
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L’Institut de puériculture et de périnatalogie de Paris (IPP) est aujourd’hui l’objet d’une procédure de conciliation ouverte en décembre 2010. Il est menacé de liquidation judiciaire au même tire qu’une entreprise privée, alors que ses comptes sont positifs pour 2010 et 2011.

300 emplois et une structure hospitalière de réputation nationale et internationale sont menacés. Plus grand lactarium de France, l’Institut, qui accueille 900 prématurés par an, est notamment réputé en matière de soin pré et post-natal, de traitement des pathologies graves du jeune enfant, de recherche et d’enseignement, d’accompagnement aux mamans handicapées, d’accueil des enfants autistes.

La conciliatrice doit rendre son rapport le 9 mai. A suivre.

 

 

Soutenez IPP Paris

Soutenez l’Institut de Puériculture et de Périnatalogie de Paris (Brune)

L’Institut de Puériculture et de Périnatalogie de Paris est en danger.

A l’IPP, une procédure de conciliation est engagée depuis le 9 décembre 2010 auprès du Tribunal de Grande Instance. Il existe une réelle menace de liquidation judiciaire pour l’établissement.

Tous les services sont en danger : Néonatologie, laboratoires, lactarium et diététique, CAMPS, PMI, SAPPH, Ecole de puériculture, service de Guidance Infantile et Hôpital de jour.

Le service de guidance infantile, créé en 1959 par le Professeur Michel Soulé, un des fondateurs de la pédopsychiatrie en France et dans le monde, a promu la psychiatrie de liaison avec les services de Néonatologie (réanimation, soins intensifs et pédiatrie), le service de Maternité spécialisé et les Maternités environnantes, les structures médico-sociales externes et internes (la PMI, le CAMPS, les consultations spécialisées), l’enseignement (école de Puériculture), les PMI, les crèches, les groupes scolaires, l’ASE, les services sociaux de secteur.

Créé en 1971, l’hôpital de jour très jeunes enfants a été un des premiers lieux de soin précoce et intensif de l’autisme et des psychoses.

Agissez avec nous pour le maintien de l’ensemble des activités et des emplois de l’IPP !

Ces services sont porteurs de projets d’avenir en matière de soin pré et post-natal, de pathologies graves du jeune enfant, de recherche et d’enseignement.

 

link pour signer la pétition

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 17:43
Publié le 28 avril 2011 par Égalité
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La composition du Conseil national du numérique est vivement contestée et notamment par le Spiil (Syndicat de la presse indépendante de l’information en ligne), qui « regrette que ne figure [...] aucun représentant des organisations professionnelles reconnues, ni des citoyens utilisateurs du numérique et aucun élu de la nation ».

A l’encontre du rapport remis fin février par Pierre Kosciusko-Morizet qui préconisait que les représentants soient élus, les conseillers sont tous nommés et, en outre, issus majoritairement des grandes industries d’internet.

Mais un autre message est clair : les femmes n’ont pas (ou peu) de compétences en matière de numérique. Deux seulement sont nommées sur les 18 membres du nouveau Conseil.

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 09:57

Deux informations aussi choquantes l’une que l’autre viennent d’être publiées et de s’entrechoquer pour démontrer le niveau d’injustice inacceptable dans lequel se trouve la société française  :


 

- Les patrons du CAC 40 ont gagné en moyenne 152 fois le Smic en 2010, soit 2,46 millions d'euros (fixe et variable, hors stock-options et actions gratuites), soit 208.300 euros par mois. Le total des rémunérations des dirigeants du CAC 40 a  ainsi atteint 98,3 millions d'euros, en hausse de 24% par rapport à 2009. A titre de comparaison, le salaire moyen d'un dirigeant de PME est de 50.000 euros par an et le SMIC est actuellement à 1365 euros bruts mensuels. Pour rappel, en 2008, après plusieurs scandales autour d'indemnités de grands patrons, le Medef avait adopté un code éthique, qualifié de "révolution" par la patronne des patrons Laurence Parisot…


 

- Un rapport récent de la Banque de France que vient de révéler la presse relève qu’en février 2011, le nombre de dossiers de surendettement est en augmentation de 17% par rapport à décembre 2010. 900 000 ménages sont concernés. La Banque de France pointe les principales raisons de cette explosion : stagnation des retraites et explosion des loyers, de l’énergie et des frais de santé.


 

S’exprimant ce matin, Ségolène Royal a fait trois propositions concrètes pour lutter contre le surendettement qui frappe de plus en plus de personnes :

 

- Supprimer les intérêts sur les découverts bancaires lorsque les comptes ont été en excédent une partie de l’année. Parce qu’il n’est pas juste que les banques ne rémunèrent pas un compte en excédent alors qu’elles frappent avec des taux d’intérêt très lourds les comptes à découvert.

 

 

- Interdire les publicités quasi-mensongères sur le crédit facile

 

 

- Lutter contre la hausse des prix, en gelant le prix de l’essence et de l’électricité, et en bloquant le prix de cinquante produits alimentaires et d’entretien de première nécessité.

 

Par Ségolène Royale

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 15:29

Chers amis, chères amies,

 

L'annonce d'une prime à 1000 euros, présentée comme une nouveauté, est en fait l'aboutissement d'un long renoncement. Qu'on en juge avec ce rappel des différentes étapes que je vous livre, car ceux qui ne vivent que des effets d'annonce, parient sur le fait que le peuple perd la mémoire des paroles données. D'où le devoir de rappel surtout à l'approche des bilans.


Ségolène Royal

 


 

 

Décembre 2006

A Bogny sur Meuse (Ardennes), le candidat lance son « travailler plus pour gagner plus », promet qu'il sera « le président du pouvoir d'achat » et assure « je ne vous trahirai pas »


Février 2008

La loi sur le pouvoir d'achat prévoit le versement d'une prime de 1.000 euros maximum dans les entreprises de moins de 50 salariés n'ayant pas de dispositif de participation.

Bilan : 90.000 entreprises sur 3 millions de PME de moins de 50 salariés...


 

Février 2009

Sarkozy promet un partage de la valeur ajoutée en 3 tiers (dividendes actionnaires, investissement, salariés).

Une étude de l'INSEE publiée le même mois dans Les Echos rapporte que « l'excédent brut d'exploitation » des entreprises est réparti en 52% pour les investissements, 42% pour les actionnaires et 5,5% pour les salariés.


Mai 2009

Rapport de Jean-Philippe Cotis, directeur de l'INSEE, au Président de la République sur « le partage de la valeur ajoutée ».
Il estime que la part des salaires dans la valeur ajoutée est stable depuis 20 ans (la baisse «n'atteindrait que 2 à 3 points de valeur ajoutée », ce qui fait quand même 50 à 60 milliards de perte pour les salaires !)
Problème : il y a 3 définitions de la « valeur ajoutée » (nette, brute ou « au coût des facteurs de production » qui en déduit les impositions afférentes) et Cotis choisit le chiffre le moins gênant (en prenant la valeur ajoutée brute, la perte pour les salaires monte à 80-90 milliards ).


Début 2010

Sarkozy somme les partenaires sociaux de trouver dans les 3 mois un accord sur le partage de la valeur ajoutée, faute de quoi le gouvernement demandera au Parlement de légiférer : aucune suite.


Avril 2011

Le 7 avril, Sarkozy lance son idée de prime à 1.000 euros : cacophonie généralisée dans les rangs du gouvernement

Le 19, dans l'usine de La Fonte ardennaise à Vrigne aux Bois, il donne une version édulcoréede son annonce : il n'évoque plus les 1.000 euros, parle désormais « d'augmentation » et plus de « versement » des dividendes.
C'est un recul que n'arrivent pas à masquer les mises en scène (« je ne cèderai pas »).

Le 20 avril, arbitrage élyséen : une prime « obligatoire et pérenne » dont le montant n'est pas fixé, ouvrant droit à une exonération de charges dans la limite d'un plafond non précisé, « lorsque le montant des dividendes est en augmentation ».


Un projet de loi est annoncé pour avant la fin juillet en vue d'un versement dès 2010.


 

 


Blog : http://www.leblogdesegoleneroyal.fr

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 10:21

 

 
ADEME - REGION RHONE-ALPES

 

La Région Rhône-Alpes et la Direction régionale de l’ADEME lancent la 12 ème édition du concours «Energies d’aujourd’hui Rhône-Alpes ».
Ce concours se déroule en partenariat avec le concours national « Habitat solaire, habitat d’aujourd’hui » organisé par Observ’ER.

Le concours « Energies d’aujourd’hui Rhône-Alpes » récompense des réalisations et démarches exemplaires territoriales dans les domaines de la maîtrise de l’énergie, des énergies renouvelables, de la conception bioclimatique, de la gestion des déplacements.

Il est ouvert aux particuliers, collectivités locales, bailleurs sociaux, associations, entreprises, architectes désireux de concourir dans l’une des catégories suivantes :

1. Réalisation éco-énergétique exemplaire dans les domaines de la maîtrise de l’énergie, des énergies renouvelables, de la conception bioclimatique, de la gestion des déplacements.
Ces réalisations devront justifier d’au moins une année de fonctionnement.
2. Démarche exemplaire territoriale de promotion, démonstration, sensibilisation, concertation, communication dans les mêmes domaines que ceux énoncés ci-dessus. 
Ces démarches devront pouvoir justifier de résultats quantitatifs et qualitatifs.

  Comment participer ?

Pour concourir, il vous suffit de remplir le dossier de participation téléchargeable ci-dessous et de le renvoyer accompagné des pièces justificatives demandées à Rhônalpénergie-Environnement avant le 22 juillet 2011.

- Dossier de participation (format Word pour remplissage du dossier directement sur informatique, 850 Ko) : cliquer ici
- Dossier de participation (format PDF, 490 Ko) :

Dossier de participation téléchargeable sur :

www.raee.org/concours2009

 

  Précédentes éditions :

-  Les lauréats de l'édition 2009
- Les lauréats de l'édition 2007

- Les lauréats de l'édition 2005

 

  Contact :

Rhônalpénergie-Environnement
- Marie-Charlotte Vial  (marie-charlotte.vialchezraee.org)
- Séverine Tantin (severine.tantinchezraee.org)

Tél : 04 78 37 29 14









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