Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 10:03

Les partis préfèrent les pénalités à la parité

Publié le 12 avril 2011 par Égalité

Les élections cantonales viennent tout juste de se terminer que tout le monde a déjà en tête les échéances de 2012. C’est passer un peu vite sur les résultats, notamment en matière de parité.

Peut-être par routine ou par désintérêt, on ne s’émeut guère du peu de femmes candidates, puis d’élues.

Lors des élections cantonales de 1958, les femmes représentaient 0,7% des conseillères générales, 53 ans plus tard, le pourcentage dépasse à peine 10%. Pas de quoi rassurer quant à l’avenir de la parité lors des prochaines élections territoriales programmées pour 2014.

 

La réforme des collectivités territoriales aggrave les disparités

En 2011 comme en 2008, puisque la loi de 2007 impose que le suppléant soit du sexe opposé au candidat, les femmes sont surtout des suppléantes (76,8%).

S’il y a peu de candidates, il y a forcément peu d’élues. En 2008, elles étaient 13,4% de femmes à être élues conseillères générales, en 2011, elles sont 13,8% !

Comme en 2008, trois départements n’ont pas de conseillère générale : la Haute-Corse, les Deux-Sèvres et le Tarn-et-Garonne.

Et comme en 2008, elles ne sont que cinq femmes à avoir été élues présidentes d’un conseil général, toutes socialistes ou divers gauche.

A l’issue de ces dernières élections, les conseils généraux sont composés de 14% de femmes contre 48% de femmes pour les conseils régionaux. Au vu des chiffres mis en ligne par l’Observatoire de la parité, la réforme des collectivités territoriales laisse définitivement un goût amer.

 

Une retenue de 20 millions d’euros pour l’UMP

La loi adoptée à l’automne dernier repose en effet sur le même mode de scrutin que les élections cantonales : le scrutin uninominal à deux tours. Pour « atténuer » l’effet sur la parité, il a été prévu, sur le modèle des élections législatives, une « pénalité » pour non présentation de candidatures paritaires.

Au regard des résultats de ces mêmes pénalités sur le pourcentage de femmes à l’Assemblée nationale (18,5%), par exemple, les partis politiques ne seront-ils pas encore tentés de se priver d’une partie de la dotation publique plutôt que d’investir des femmes ? Pour l’UMP, pour l’ensemble de la treizième législature (2007-2012), cette retenue va s’élever à plus de 20 millions d’euros.

La volonté affichée des partis politiques en 2012 donnera le ton pour les élections suivantes. Mais doit-on se réjouir ou s’attrister que les motivations réelles des partis seront plutôt d’atténuer les effets de la loi du 31 janvier 2007, qui prévoit une augmentation de la retenue sur la dotation publique s’il n’y a pas autant de candidates que de candidats ?

Lina Costerros – EGALITE

 
Partager cet article
Repost0
15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 10:01

Le gouvernement peut, contrairement à ce qu’il dit, bloquer l’augmentation du prix de l’essence



Chers amis, chères amies,


Comme je vous l’avais indiqué, j’étais hier l’invitée de l’émission Elysée 2012 sur Itélé. Vous pouvez visionner l’émission sur le site de cette chaîne.(ICI)

Au cours de cette interview, j’ai fait une proposition très simple, très concrète et immédiatement perceptible par les Français, pour lutter contre la vie chère au moment où les prix des carburants atteignent des montants insupportables : que le Premier Ministre prenne un décret bloquant le prix de l’essence.

Cette possibilité, utilisée en 1990 par Pierre Bérégovoy, est ouverte pour une durée de 6 mois par l’article L 410-2 du code du commerce : « Le gouvernement arrête, par décret en Conseil d’État, contre des hausses ou des baisses excessives de prix, des mesures temporaires motivées par une situation de crise, des circonstances exceptionnelles, une calamité publique ou une situation manifestement anormale du marché dans un secteur déterminé. ». Il est évident que la situation actuelle dans les pays arabes justifie pleinement le recours à ce blocage des prix. Au gouvernement d’avoir le courage de s’en saisir.

Ce serait une bonne réponse aux propos scandaleux du PDG de Total qui annonce le litre d’essence à deux euros alors que son entreprise ne paie pas un centime d’euro d’impôt sur les sociétés en France.

Et ce serait surtout le seul moyen de soulager les Français obligés de prendre leur voiture pour aller travailler, notamment dans les zones rurales et péri-urbaines.


Bien amicalement


Ségolène Royal


Partager cet article
Repost0
12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 18:57

Les commissions Droits des femmes des Fédérations Socialistes 73 et 74 ont mutualisé leurs forces pour organiser un colloque qui aura lieu le 21 mai 2011 à Montmélian.
Au programme de ce colloque :
COLLOQUE DES COMMISSIONS DROITS DES FEMMES 73 et 74


Le matin :
Femmes en errance
 les raisons pour lesquelles une femme devient SDF
 son vécu dans la rue
 des associations qui les soutiennent
 devenir : réinsertion ou retour dans la rue
Intervenants :
Association Femmes SDF de Grenoble et un(e) cadre fédéral(e) pour animer le débat politique.
L’après-midi :
Le féminisme au XXIème siècle
Intervenante : une membre de la revue
« Osez le féminisme »
VENEZ NOMBREUSES, NOMBREUX !
Inscription auprès de Claire CHAUVET, Secrétaire fédérale aux Droits des femmes (courriel: fede74@parti-socialiste.fr).
Les modalités de transports (covoiturage) et le coût du déjeuner vous seront fournis ultérieurement.



CONTACT: fede74@parti-socialiste.fr

Claire CHAUVET,
Secrétaire fédérale aux Droits des femmes.

Partager cet article
Repost0
11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 21:32

 

Après« les monologues du vagin »en 2009 et 2010

    

Le Planning Familial de l’Ardèche

Due partite

         

  
 

Pièce en deux actes de Cristina Comencini 

 

Spectacle  de théâtre amateur, suivi d’un débat,

Mercredi 11 mai à 20 heures

et vendredi 13 mai à 20 heures 30

à la Presqu’île, quartier Fontanes, Annonay

 

 

Mise en scène : Marijo Penel

Avec :Aurélie Magnouloux,

            Magali Dumortier,

            Blandine Belghit

                                                           Sylvie Barthélémy

 

Conception graphique : Emilie Stora

 

Prima partita :

 

Quatre  femmes dans les années 60. Un passé tout proche mais quelle différence!

Quatre amies bavardent, évoquent leur quotidien, leur vie d’épouse et de mère,  leurs  amertumes, leur impatience face à un monde figé qui leur impose des rôles étriqués. Leurs confidences s’imprègnent de révolte et d’espoir. Les rires succèdent aux larmes. L’émotion affleure leurs propos vifs, drôles, lucides, acerbes parfois. Une parenthèse douce–amère qui met en lumière la condition ordinaire des femmes de cette époque.

 

Seconda partita :

 

Quatre femmes trente ans plus tard : leurs quatre filles. La donne a bien changé. Un autre monde, un autre style. Elles ont pu choisir de travailler, d’avoir ou non un enfant.

Qu’ont-elles hérité de leurs mères? Qu’ont-elles gagné dans cette révolution? Telles sont les questions que pose cette mise en perspective de deux époques

Quels atouts les femmes ont-elles en main aujourd’hui ? Cette passionnante plongée dans les années 60 nous invite à en mesurer les effets.

 

Entrée libre

 

Il est prudent de réserver auprès d’ Annik : 06 82 69 70 95

 

 

Partager cet article
Repost0
10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 19:10
Publié le 6 avril 2011 par Égalité
Bookmark and Share

Des blogueuses et des militantes féministes, dont Les entrailles de mademoiselle, invitent à signer une pétition pour protester contre le droit menacé à l’avortement et la culpabilisation des femmes : « Le droit à l’IVG est menacé : en pratique, par la casse méthodique du service public hospitalier, et dans les discours, car l’avortement est régulièrement présenté comme un drame dont on ne se remet pas, un traumatisme systématique. »


Signer la pétition « IVG : je vais bien, merci 

Pétition

Plus de 200 000 femmes avortent chaque année en France.

Cet acte, pratiqué sous contrôle médical, est des plus simples. Pourtant, le parcours des femmes qui avortent, lui, l'est de moins en moins :

Le droit à l'IVG est menacé : en pratique, par la casse méthodique du service public hospitalier, et dans les discours, car l'avortement est régulièrement présenté comme un drame dont on ne se remet pas, un traumatisme systématique.

Ces discours sur l'avortement sont des slogans éloignés de ce que vivent la grande majorité des femmes, ils ont pour but de les effrayer et de les culpabiliser.

Nous en avons marre que l'on nous dicte ce que nous devons penser et ressentir.
Depuis le vote de la loi Veil en 1975, a-t-on cessé de prédire le pire aux femmes qui décident d'avorter ?

Nous en avons assez de cette forme de maltraitance politique, médiatique, médicale.

Avorter est notre droit, avorter est notre décision. Cette décision doit être respectée : nous ne sommes pas des idiotes ou des inconséquentes. Nous n'avons pas à nous sentir coupables, honteuses ou forcément malheureuses.

Nous revendiquons le droit d’avorter la tête haute, parce que défendre le droit à l’avortement ne doit pas se limiter à quémander des miettes de tolérance ou un allongement de la corde autour du piquet.

Nous disons haut et fort que l'avortement est notre liberté et non un drame.

Nous déclarons avoir avorté et n’avoir aucun regret : nous allons très bien.

Nous réclamons des moyens pour que le droit à l’IVG soit enfin respecté. Nous réclamons son accès inconditionnel et gratuit mais également la liberté de faire ce que nous voulons de notre corps sans que l'on nous dise comment nous devons nous sentir.

Pour signer link


Partager cet article
Repost0
10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 19:06
Publié le 8 avril 2011 par Égalité
Bookmark and Share

Vous avez lu le manifeste des 343 (qui, en 2011, ne sont plus des salopes comme en 1971, mais des femmes).
Vous avez certainement étudié la liste des signataires où vous avez reconnu des noms célèbres, ou ceux de vos connaissances ou encore de vos amies…

 

J’ai voulu pour ma part examiner de près les commentaires que laissent sur internet les lecteurs de tel ou tel journal. J’ai dû laisser de côté les réactions des lecteurs de Libération (pourtant éditeur du manifeste) car ils s’invectivaient mutuellement sans parler le moins du monde du sujet ! Je me suis arrêté sur les commentaires des internautes du Figaro. Ma lecture terminée, une phrase du manifeste me revient en mémoire : « Nous avons parfois la sensation cruelle de nous réveiller avec la gueule de bois !»


Les lecteurs et lectrices du Figaro (la dominante estmasculine) qui sont, comme chacun sait, de dignes représentants de la classe ouvrière et du progressisme social, attaquent bille en tête « ces bourgeoises en manque de célébrité », ces « guignolettes en furie », « ces bourgeoises nostalgiques », ces femmes qui « en dépit de leur réussite sociale, ne sont pas arrivées à un équilibre personnel et un bonheur familial rempli d’amour ».

 

Bien entendu, pour nos progressistes, ces bourgeoises mènent « un combat dépassé », elles « sont en retard d’une guerre », ce sont de « vieilles dames coincées dans leur passé » ; elles devraient savoir que « les violences sexistes sont de plus en plus souvent le fait des femmes »
Enfin, ce sont « des bien-pensantes complètement déconnectées des réalités de la vie quotidienne » ; qu’elles aillent donc dans les « banlieues », dans « les quartiers dits difficiles pour y travailler au lieu de finasser au bord de leurs piscines de stars has been ». Ou bien « qu’elles voyagent dans les pays où le droit de la femme n’est qu’une théorie abstraite ».


Et la leçon de morale nous vient en renfort : « L’accès à l’avortement n’est pas une libération en soi. » Un « frein à l’égalité hommes femmes est de manière insidieuse le nombre toujours croissant de familles monoparentales ». « Avant d’apprendre aux jeunes à baiser gratuitement [?], il faut leur apprendre à vivre la vie. » Et puis bien sûr nous avons oublié « la place de la religion » !

 

Devons-nous nous étonner de ce que, insidieusement, ce salmigondis d’arguments percutants glisse vers des thèmes chers aux internautes éclairés du Figaro : on ne sait pas très bien pourquoi, mais il est évident que l’islam est en embuscade quelque part. Sur les trente commentaires que j’ai lus, plus d’un quart voit « l’islamisme » grignoter nos positions. C’est là qu’il faut porter le fer de la lutte pour l’égalité.

Avez-vous lu le dossier – fort intéressant – publié par l’hebdomadaire Le Point le 31 mars dernier sur la droite Zemmour ? Nous sommes en plein dedans !
Et comme s’interroge un internaute (mâle) du Figaro : « La femme est-elle l’égale de l’homme ? » Vaste question n’est-ce pas ?

Alain Piot, sociologue

 
 
Partager cet article
Repost0
10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 18:51
Publié le 6 avril 2011 par Égalité
Bookmark and Share

Les premiers résultats du recensement national de l’Inde, qui viennent de paraître, ont confirmé les craintes : le déséquilibre chronique entre les sexes s’est aggravé en dix ans.


Entre 0 et 6 ans, le ratio est ainsi passé de 927 filles pour 1 000 garçons en 2001, à 914 pour 1 000. En d’autres termes, il naît de moins en moins de petites filles en Inde.

Ce pays de 1,21 milliard d’habitants, connaît, comme le reste de l’Asie, une préférence ancestrale pour les garçons, traditionnels héritiers du nom et du patrimoine de la famille. En Inde, cette préférence est surtout sous-tendue par la dot que doivent verser les parents d’une fille au mariage de celle-ci. Interdite depuis 1961, la dot reste pourtant largement pratiquée et prend même depuis deux décennies des proportions faramineuses : les parents de la mariée doivent maintenant offrir à la future belle-famille bijoux, argent, télévision, climatiseur, scooter, voiture… de quoi engloutir les économies de toute une vie.

 

Cette charge financière fait de la venue au monde d’une fille un fardeau jugé inacceptable par les couples et beaucoup préfèrent avoir des fils, ce qui leur permet de toucher une dot au mariage de celui-ci, et de garder le patrimoine dans la famille. La maîtrise accrue de la fécondité accentue cette préférence : quitte à avoir moins d’enfants, autant être sûr de n’avoir que des garçons. L’accès à l’échographie et à l’avortement étant facile, il est donc devenu courant en Inde d’éliminer les fœtus féminins avant la naissance.

 

Un rejet des filles plus fort dans les classes moyennes émergentes

Les avortements basés sur le sexe du bébé sont certes interdits, mais la pression sociale exercée sur les femmes pour engendrer des garçons est la plus forte, et les familles trouvent des alliées objectives dans les milliers de cliniques privées qui ont fait de l’avortement sélectif une activité fort lucrative.

 

On pourra toujours dénoncer une pratique obscurantiste, liée à la pauvreté et à l’ignorance. Mais il n’en est rien. La sociologie de l’élimination prénatale montre qu’elle est plus élevée dans les régions riches (Punjab, Haryana, Delhi, Maharashtra…) que dans les régions pauvres, plus élevée dans les villes que dans les campagnes, plus élevée dans la classe moyenne que parmi les classes populaires et plus élevée dans les hautes castes que parmi les basses castes. En un mot, le rejet des filles est plus important parmi les classes moyennes émergentes, ces groupes sociaux urbains, éduqués et tournés vers le monde, qui bénéficient à plein du développement économique, mais qui pratiquent aussi les dots les plus élevées.

Et c’est bien là que se situe le paradoxe. Qui a dit que le développement et l’éducation améliorent toujours le sort des femmes ?  L’Inde n’a jamais été atteint un tel niveau d’éducation – le taux d’alphabétisation est passé de 64% à 74% de la population en dix ans – et de prospérité économique, et jamais les filles n’ont autant été éliminées.

 

La dot répond aux aspirations matérialistes croissantes

Les résultats du recensement sont d’autant plus décevants que gouvernement et ONG ont multiplié les campagnes de sensibilisation pour lutter contre l’élimination des filles. Mais ces campagnes ne semblent pas avoir été suffisantes pour faire évoluer les mentalités, les familles ne voyant pas plus loin que l’horizon de leur propre budget. De même que semblent avoir échoué les mesures d’encouragement à avoir des filles : dans la plupart des Etats de l’Inde, les naissances de filles sont soutenues financièrement par les pouvoirs publics, mais ces incentives ne suffisent pas à compenser le coût croissant de la dot.

 

Miser sur une interdiction réelle de la dot semble à l’heure actuelle une utopie : elle est quasi généralisée et répond trop aux aspirations matérialistes croissantes de la société indienne. Mais il paraît plus raisonnable, à terme, d’espérer un changement progressif des mentalités grâce à la montée des femmes dans la sphère du travail. Un jour viendra où leur activité et leur autonomie financière auront définitivement prouvé à la société qu’elles valent autant que les hommes. Ce jour-là, il naîtra peut-être autant de filles que de garçons en Inde et dans le reste de l’Asie (Chine, Taïwan, Pakistan, Népal, Bangladesh, Vietnam…). Sur ce continent, 168 millions de femmes sont déjà « manquantes », faute, pour la plupart, d’avoir pu naître.

Bénédicte Manier
Jounaliste à l’AFP et auteure de Quand les femmes auront disparu. L’élimination des filles en Inde et en Asie, éditions La Découverte, 2006.

 
 
Partager cet article
Repost0
10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 17:08
 

Samedi 16 avril - GRENOBLE (38) : TCHERNOBYL-FUKUSHIMA : NUCLEAIRE DÉGAGE !!!

15 h : rue Félix POULAT
>
> Manifestation antinucléaire unitaire
> Nous défilerons du centre-ville de Grenoble jusqu'au CEA pour dénoncer le nucléaire sous toutes ses formes, "civil" et militaire, la contamination, les essais nucléaires, la démocratie confisquée, le colonialisme au Niger et ailleurs, et la responsabilité d'AREVA dans la catastrophe de FUKUSHIMA. Le combustible MOX au PLUTONIUM est fabriqué à Marcoule en France.
>
> Contact : Roux Ivan - Sortir du Nucléaire 38
> ivan.roux (a) wanadoo.fr
> Tel : 04 76 23 25 57

Mercredi 20 avril 2011 - Saint Etienne (42) : Saint-Etienne : Nucléaire : nous voulons avoir le choix ! ...

15h à 17h : Place Jean Jaures
>
> Rassemblement de personnes devant la préfecture de Saint-Etienne.
>
> Contact : Couturier
> vince.couturier (a) laposte.net

Samedi 23 avril 2011 - Annecy (74) : Rassemblement et déambulation

14h : Devant le centre Bonlieu.
>
> Rassemblement face au centre Bonlieu, puis déambulation dans les rues piétonnes.
>
>
> Contact : Bernard Demey - Amis de la Terre Haute-Savoie
> bernarddemeybd (a) wanadoo.fr

Samedi 23 avril 2011 - Cruas (07) : Cru assassine !

14H : Devant le site nucléaire du Cruas
>
> Rassemblement citoyen devant les réacteurs de Cruas (07).
>
> Vêtus en combinaisons de protections, blouses ou endeuillés (noir), masque à gaz, drapeaux, slogans, couleur jaune du réseau, etc...

>
> venez exprimer votre refus de la relance du nucléaire en vue des effets devastateurs de cette technologie non maitrisée sur notre environnement et notre santé.

>
> Possibilité de poursuivre l'action en versant des encres colorées non nocives dans les fontaines publiques afin de "matérialiser" la pollution radioactive omniprésente autour des installations nucléaires.
> Distribuer des tracts et informer la population sur les risques encourus et les possibilités d'alternatives énergétiques et politiques.

>
> Contact : Stouff
> ramillien.stouff (a) hotmail.fr

Samedi 23 avril - Annemasse (74) : stand d'information

14h à 17h : 1, place de la Libération, Passage Bleu, côté Parking Libération
>
> A l'occasion de la Semaine Mondiale contre l'expérimentation animale, http://semaine-mondiale-animaux-laboratoire.org/en-region.html, Oïkos Kaï Bios, http://oikoskaibios.monsite-orange.fr/, organise une table d'information et signature de pétitions. Nous ajouterons un espace pour la documentation du Réseau Sortir du Nucléaire. Un affichage avec les "photos des liquidateurs de Tchernobyl" sera effectué pour annoncer l'action.
>
> L'association organise régulièrement des stands pour la défense de la nature et des animaux. Agenda de nos actions et d'autres que nous relayons volontiers(dont les manifestations actuelles contre le nucléaire) en page d'accueil de
> http://oikoskaibios.monsite-orange.fr/

>
> Contact : Berger Marie - Oïkos Kaï Bios
> oikos.kai.bios (a) orange.fr
> Tel : 0450379949 (LR)

Samedi 23 avril 2011 - Saint-Vulbas (01) : Rassemblement Sortons du nucléaire !

11 heures : Centrale du bugey, parking de la Loyette
>
> Rassemblement devant la centrale du Bugey, suivi d'un pique-nique, repas tiré du sac.
>
> Contact : CAROLINE MUSQUET - EUROPE ECOLOGIE LES VERTS DE L'AIN
> les-verts-01 (a) wanadoo.fr
> Tel : 06-47-92-07-81

Mercredi 27 avril 2011 - Villeurbanne (69) : Docu-débat sur la bataille de Tchernobyl à Villeurbanne

19h30 : TOÏTOÏ, LE ZINC (bar avec restauration et bières locales) 17 - 19, rue Marcel Dutartre Pour s'y rendre: http://toitoilezinc.fr/infos-pratiques.aspx
>
> Projection d'un documentaire sur la bataille de Tchernobyl où plus de 800 000 hommes «liquidateurs» furent mobilisés pendant presque un an pour nettoyer les lieux et construire un sarcophage.
>
> Au-delà de ce nettoyage, ces hommes sacrifiés ont surtout sauvé le monde d’une seconde explosion qui aurait contaminé la moitié de l’Europe.

>
> Documentaire de 1h30 doublé en français.

>
> La projection sera suivi d'un débat sur la possibilité qu'une telle catastrophe arrive en France.

>
> Contact : Jean-Michel Garnier
> jeanmichel.garnier (a) gmail.com

Partager cet article
Repost0
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 21:16
4 AVRIL 2011    

L'association ECOVOITURONS vous aidait à pratiquer et à développer le covoiturage en Drôme-Ardèche.

  • Faute de financements et de soutiens suffisants, Ecovoiturons a dû suspendre ses 2 activités principales:
    • Mise en relation des conducteurs et passagers
      • ce qui veut dire l'arrêt du site internet d'annonces et de l'assistance téléphonique
    • Soutien au développement du covoiturage
      • ce qui veut dire l'arrêt de l'information et la sensibilisation du grand public, l'arrêt de l'accompagnement des collectivités, des entreprises et des associations
  • En cette période (*) où tout devrait être fait pour changer nos consommations d'énergie et développer la solidarité, nous en sommes navrés
    • (*)
    • Hausse inexorable du prix de l'essence à la pompe dûe à la consommation exponentielle de pétrole
    • Projets catastrophiques d'extraction des gaz de schiste qu'on nous promet
    • Catastrophe nucléaire de Fukushima condamnant la voiture électrique
    • Fracture sociale et difficulté des plus pauvres à se déplacer vers l'emploi
    • Individualisme ambiant
    • etc

 Autocollant disponible sur envoi à Ecovoiturons d'une enveloppe timbrée à votre adresse.

Plus d'explications
  • L'association Ecovoiturons a été créée en avril 2007, il y a 4 ans. Son objet est de développer le covoiturage.
  • Dès le début, Ecovoiturons s'est inscrite comme un projet d'Economie Sociale et Solidaire (ESS) qui devait permettre de lui donner les moyens de ses ambitions. Les usagers, les sympathisants et les collectivités étaient invités à adhérer à l'association pour soutenir financièrement son action et participer aux actions.
  • En 2009 et 2010, Ecovoiturons a reçu 30.000€ puis 38.000€ de subventions (principalement du Pays de Romans et des 2 départements 07 et 26) qui lui ont permis de créer 2 emplois avec l'aide complémentaire du dispositif "emplois aidés" de l'Etat.
  • En 4 ans, Ecovoiturons a développé une réelle expertise en réalisant de très nombreuses actions:
  • En 2010, Ecovoiturons a permis à ses usagers d'économiser en covoiturant grâce à son action environ 300.000km d'une valeur de 150.000€ et 30 tonnes de CO2.
Déçus de suspendre nos activités, mais pas amers
  • Nos adhésions (moins de 100 par an) et nos subventions en 2011 sont insuffisantes pour poursuivre efficacement nos actions.
  • Nous n'avons pas réussi à convaincre durablement nos partenaires de nous soutenir moralement et financièrement. Que ce soit les collectivités, les entreprises, nos usagers (plus de 1600 contacts en 26/07), ou nos sympathisants.
  • Mais nous avons fait avancer le covoiturage et le covoiturage deviendra forcément une pratique de transport très utilisée dans les années à venir.
  • Nous ne savons pas à ce jour quelles activités minimum l'association va pouvoir maintenir et si nous pourrons reprendre un jour. Nous vous tiendrons au courant sur ce blog.
Un schéma directeur "covoiturage" des 2 départements 26 et 07 en 2011
  • Les 2 départements 26 et 07 élaborent en 2011 un schéma directeur "covoiturage" qui va se traduire tout d'abord par l'aménagement de 400 places de parkings près de 4 échangeurs de l'A7 pour un coût de 2 Millions d'euros financés à 50/50 par les collectivités et par les ASF (autoroutes).
  • Pourraient suivre fin 2011 un site internet institutionnel et la mise en place d'une structure de coordination.
Et en attendant, je covoiture comment, moi?
  • Pour vos trajets réguliers domicile-travail ou de l'évènementiel, nous vous conseillons de vous inscrire sur www.laroueverte.com
  • Pour vos trajets occasionnels longue distance, nous vous conseillons de vous inscrire sur www.covoiturage.fr . Voir nos commentaires
  • Vous aurez de la pub sur le 2ème site. Ces sites ne font aucune action d'accompagnement local, ni ne s'intéressent au covoiturage solidaire.
  • Quant à la pratique séduisante des "lignes de voitures", il va falloir vous débrouiller tous seuls.
  • Vous pouvez aussi consulter notre blog de partage d'expériences.
  • Nous sommes vraiment navrés de ne plus pouvoir vous accompagner
Un grand merci à ceux qui ont soutenu le projet jusqu'à présent, les bénévoles et les autres   (;-)

L'équipe d'Ecovoiturons: Guenaëlle, Sarah, Anne-Marie, Jean-Yves, Jean-Mar

Partager cet article
Repost0
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 08:40

 

L'association Lyon Solidaire vous convie à la deuxième édition de la

   CONFÉRENCE-DÉBAT


Le Jeudi 7 Avril De 19h à 21h à L'ISARA Lyon

                                                                                                                                       métro Stade de Gerland
                                           entrée Libre

Après une première conférence qui eu lieu en mai 2010 et qui retrassa l'historique du système éducatif subsaharien ainsi que son héritage colonial , Lyon Solidaire vous propose une réflexion quant à la mise en place de projets de développement de l'éducation primaire en Afrique subsaharienne.

                      -Comment mener des projets de développement éducatif efficaces et adaptés à la culture locale?
                      -Comment coopérer avec les acteur locaux?
                      -Quelle instruction pour quels enfants et pour quel développement?                            
                       -Quelle légitimité des acteurs "du Nord"? 
                      -Quelle place pour la tradition orale?

                      
Nos intervenants Ya Mutuale (Professeur à Bioforce et Ancien Président du Service pour la Coopération au Développement) et Raymond Zonon (Expert en projet de développement au Burkina Fasso) alimenterons cette réflexion.

Vous trouverez ci-joint un document explicant plus en détail les objectifs de cette rencontre.

Adresse: AGRAPOLE
23 rue Jean Baldassini
69364 LYON Cedex 07
à 5min du métro Stade de Gerland

Merci de répondre à ce mail pour confirmer votre pésence.

 

                                                                    Contact:alexandra@lyonsolidaire.com
                                                                                     
                                                                                 06 43 54 57 43

Partager cet article
Repost0